lundi 28 mars 2016

Nazis à Oradour-sur-Glane: Publication de la dissertation récapitulative inachevée pour la démystification des justiciables.




« Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » Nietzsche.

27/03/2015. Doctrine Nazie illégalement dissimulée dans les procès relatifs aux crimes contre l’humanité par l’Académie française.



Ridiculisés à jamais: Universitaires, juges, procureurs, avocats,  littéraires, politiques.

Mis à quia devant l’ONU, les comploteurs de la haute finance organisent les attentats terroristes électoraux qu’ils financent à la manip.

Réplique à Mediapart 2 avril 2016: une soirée pour «Penser ce qui nous arrive».

Pour penser de ce qui nous êtes arrivé, qui nous arrive et nous arrivera, la condition première est de se débarrasser des œillères culturelles, connaître les vérités de l’Histoire qui selon Nietzsche se répètent continuellement et avais déjà pensé que l’Église nous remettra ça, « son sale rêve » de l’anéantissement « de tout ce qui est noble sur terre » par des barbares stupides du genre des Francs du sacré Clovis I, l’idole de Hitler et ses nazis, des cathos intégristes, le Leitmotif des opéras de Wagner de la conflagration apocalyptique de la guerre totale. Or, un roi de France (?) a fait détruire dans la bibliothèque royale tous les œuvres historiques, philosophiques et fait réécrire l’histoire par le clergé conforme au mythe de la chevalerie chrétienne, en réalité destructeur de la civilisation gréco-romaine des chrétiens primitifs et eux exterminé avec.

Et aujourd’hui encore dans l’école publique et privés, dans les universités même, ces mythes sont enseignés comme vérités historiques... Si on n’ignore le plus important crime contre l’humanité de l’Histoire par le baptême et le sacré de Clovis I, on ne comprendra jamais rien à l’œuvre maitresse de Nietzsche « Ainsi parlait Zarathoustra », travesti par les Nazis y ironisés pour en faire leur philosophie politique des surhommes ariens dénués de tous scrupules humanistes à l’égard du sous-homme dont il faut purifier la terre par l’extermination en commençant par les juifs, les gaulois en priorité ensuite pour le repeuplement (Himmler) par la race germanique.

Nietzsche fait parler ainsi Zarathoustra pour ironiser l’Histoire des « hommes-dieux fabriqués par le sacrée des barbares mérovingiens du roi Franc Clovis I, accuse Richard Wagner d’avoir plagié pour en faire une sorte de musique religieuse caricaturale des Nazis. « Par le séisme sont révélées des sources neuves. Du séisme des vieux peuples surgissent des sources neuves. [...] O mes frères ! Pour tout avenir humain où est donc le plus grand péril ? N’es ce pas chez les gens de bien et chez  les justes ? [...] Et quelques dommages que fassent les méchants, le dommage que font les gens du bien est le plus dommageable des dommages. [...] Leur bonne conscience tient captif leur esprit. D’une insondable  prudence est la sottise des gens du bien. [...]Devenez dur ! [...] O mes hommes supérieurs, avec vous je  veux parler à l’allemand et sans ambages : ce n’est vous que j’attendais dans la montagne. (Caricature de l’évêque hérétique de Reims « Remi » qui a fait appel à lui pour exterminer les chrétiens primitifs en 496 ?). [...] Mais qui m’appartient ne peut avoir des os robustes et également des pieds légers ‑ être d’attaque pour guerroyer et festoyer... [...] Dieu est une pensée qui rend tordu tout ce qui est droit et fait tourner tout ce qui debout se tient. [...] les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point. [...] Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres [...] la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. [...] J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, - il faut savoir aussi qui sabrer ! [...]Brisez, me brisez donc le gens du bien et les justes. [...]  Rébellion ­‑ c’est la distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance ».

Nietzsche Friedrich. « Wagner répète la même chose tant de fois que l’on n’en peut plus, que l’on finit par y croire. Ps 21-22. La scène Wagnérienne n’a besoin qu’une chose : des Teutons... ! Définition du Teuton : de l’obéissance et des bonnes jambes. P.44.  C’est le plus sombre obscurantisme qu’il cache dans les voiles lumineux de l’Idéal, Il flatte tous les instincts nihilistes( bouddhistes) et les travestis en musique, il flatte toute forme de christianisme, toute forme religieuse qui exprime la décadence [...] la grande imposture de la transcendance et de l’au-delà, a trouvé dans l’art de Wagner son plus sublime avocat [...] en s’adressant à la sensualité, qui a son tour, épuise et brise l’esprit... ». Postscriptum p. 47. Le Cas Wagner, traduction par Jean-Claude Hémery. Œuvres philosophiques complètes. Éditions Gallimard Paris 1974, tome VIII, volume 1.

((Les opéras de Wagner, une musique socialement pathologique qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du Moyen-âge, des fables stupides des Niebelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries. De la mise en  musique d’un envoutant raffinement de Wagner de la mythologie germanique, la secte Thule en a fabriqué son crédo religieux combiné à la dénaturation de la philosophie de Nietzsche caricaturant le « Surhomme » germanique et l’Église dans œuvre « Ainsi parlait Zarathoustra », sans tenir compte des autres œuvres définissant comme vrais surhommes le pharisiens juifs ayant assuré la cohérence du peuple, et les Arabes en « race de maîtres » pour avoir sauvé de la folie chrétienne destructrice la culture gréco-romaine).

(Les opéras de Wagner, qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du moyen-âge, des fables stupides des Niebelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries...)

Étant donné qu’en matière pénale, sous peine de nullité pour fraude de la procédure, est obligatoire l’enquête sociale pour la présentation les motivations morales et politiques des criminels aux juges dans l’audience publique. Or, de ma connaissance, dans aucun procès relatif aux crimes contre l’humanité, la doctrine des Nazis ci-dessus résumé n’a été évoquée comme de droit ; car cela aurait mis en évidence la responsabilité du grand capital et de l’Église, eux parfaitement informés avant le déclenchement de la Guerre mondiale avec leur vraie complicité pénale des instigateurs. Échappé de plusieurs assassinats, comptant de la présenter notamment dans l’affaire Papon à Bordeaux et Touvier à Versailles, le régime scélérat a failli de me faire lobotomiser, a même fait voter par le parlement une loi pour la faciliter sans autre forme de procès avec une capture psychiatrique.
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L’évolution internationale, l’actuel occultation judiciaire des instigateurs nazis du massacre d’Oradour-sur-Glane (Fr) rend nécessaire une nouvelle information de l’amplification de ma récapitulation inachevée des occultations des procédures nationales et internationales sur le complot contre la sûreté de l’État, la Haute trahison et les crimes contre l’humanité en France et  l’ajout de documents de conviction. Blogs pages 4, publié sur Facebook.

Article 2 du Code pénal 1806, seul valide.
«  Tout tentative de crime qui aurait été manifestée par un commencement d’une exécution [...] est considérée comme le crime lui-même ».

« Apprenez donc que tous les (régimes) ont les mêmes fictions pour origine ; elles sont également toutes fondés sur le mensonge, l’erreur, la chimère, l’imposture. […] Souvenez-vous que la fin sanctifie les moyens ; que le sage doit prendre pour le bien tous les moyens du méchant pour le mal [...] Il faut combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand danger. Si elles font preuve d’un esprit créatif, elles ont plus d’impact que des milliers d’hommes laissés dans l’ignorance. »  Adam Weishaupt, chanoine jésuite, professeur en droit allemand.

Pour neutraliser subrepticement l’argumentaire irréfutable d’un juriste Peter Dietrich sur le complot contre la sûreté de l’État, la Constitution a été modifiée en silence par le petite comité des vendus, la Haute Cour de justice passée à la casserole ; manigancé un nouvel Code pénal de dépénalisation insidieuse, assortie d’une mutilation tendancieusement du Code de procédure pénale par les parasites commensaux irresponsables, soudoyés du grand banditisme politique des déprédateurs de la haute finance internationale. Par l’astuce funeste du financement occulte de l’argent sale des combines du trucage des élections, la hypermafia multinationale fit passer en Chefs d’État et en gouvernants leurs propres avocats appointés, des parrains de la Mafia, les maçons mystificateurs, rapaces combinards  de la Grande Loge nationale de France, les rusés coquins du Rotary avec leurs apanages des escrocs fricoteurs..., des néo-nazis fiers de leurs grotesques clowns, agitateurs starisés de la République spectacle : ces soushommesques clébards matinées des cerbères de pure race nazie surhommesque, veilleurs assassins des superprofits des spéculateurs irresponsables par la revanche Wagnérienne, l’apocalypse prophétisée de la « guerre totale ».

 Une vérité historique essentielle des tenants et aboutissants du massacre d’Oradour-sur-Glane aussi, une vérité taboue de laquelle les plaignants et le grand public sont laissés avec constance dans l’ignorance, tandis qu’en 2013/14, les facéties perfides de diversions des bouffons propagandistes des instigateurs défrayent la chronique de tous les médias en France. Tabou demeure la révélation de l’exploitation spéculative de la haute finance internationale, des industriels, marchands, ‑ des Nababs française en première ligne (Oréal...) ‑, de la folie du délire mystique de la secte Thoulé du gourou en chef Hitler. Le Crédo de ces toxicos illuminés élève au-dessus des lois des vulgaires « sous-hommes » terrestres, les surhommes nazis de la divine souche extra-terrestre (Sic). Dès le bas âge, les enfants aryens sont dressés en bestiaux tueurs effrénés, tortionnaires de jouissance, vus à l’œuvre au massacre du village Oradour-sur-Glane.

 À l’aide de la corruption généralisée, tous les leviers de commande du système étatique gangréné sont passée dans les mains sales jusqu’au coudes de leur cortège des Grands Commis d’État, dignitaires de la Légion d’honneur et détenteurs des comptes secrets bien garnis à l’Étranger, (M. Couve de Murville),  préservés d’impôts et investigations judiciaires; des séides dirigeant l’action sous-terrain de leurs polices parallèles des proxos et truands, patentés pour tous les ignobles trafics. Le contribuable berné, sans cesse décavé, est forcé de subventionner encore par le Fisc leur pernicieuse propagande manipulatrice de l’opinion ainsi instrumentalisé, jobardisé par des besogneux, zèles brosses à reluire du journalise laudateur des prospères médias, propriétés des multimilliardaires enrichis, s’enrichissant de plus en plus du crime organisé... en toute impunité.

 Voilà donc le vrai visage de la fable, « la France le pays des droits de l’homme »: un tissu inextricable de mensonges du malfaisant l’intox infantilisant. Plus que des spectacles simiesques reflètent une idiotie détractrice des opposants, plus ces scandaleuses insinuations médisantes font la Une des médias ; plus ces vaudevilles de propagande politique procurent aux prospères guignols les attraits d’une notoriété de justiciers héroïques avec des bénefs énormes, générant l’imitation grotesque sur la place publique des groupies abrutis, demeurés et stupides. Rien n’est laissé au hasard. Tout est calculé, tout est organisé par des savants professionnels de haut niveau, par des metteurs en scène anonymes dans les coulisses car, « Dans le monde où chacun triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan. » Gide. Et en avant la musique ! L’histoire se repasse toujours les plats !

Blogs remis à jour :


Blog Kazeo infiltré par les nazis, saboté, supprimé. Intro page 4 des blogs Kazeo et Blogspot non censurés. En raison des informations judiciaires en cours, publication de la dissertation récapitulative inachevée pour la démystification des justiciables continuellement blousés par les robins combinant avec les médias des multimilliardaires engagés.

Pour pouvoir apprécier la portée réelle de faits historiques, le rapporteur avisé doit s’efforcer de se servir des définitions ayant eu cours officiel à l’époque. En dehors des remarquables romans documentaires de Sven Hassel, rescapé des unités disciplinaires, nous avons relevé chez aucun historien ou journaliste les distinctions nazies des combattants dans l’arène politique et guerrière : le vocabulaire « Surhommes et Sous-hommes » est absolument indispensables à la compréhension de  l’élément moral des crimes contre l’humanité. L’omission volontaire est déjà une falsification de l’histoire ou un trucage judiciaire.

 « Les idées folles se prennent comme les maladies et celui qui en attrape une, les attrape généralement toutes. » L’aphorisme de Nietzche est d’une brûlante actualité constante dans la littérature, dans les discours et dans les faits politiques. D’une façon spectaculaire les idées folles font surface à l’instar de la tuerie en Norvège le 22 juillet 2011 par le jeune mollasson repu Breivik. Cet illuminé, drogué pour se donner du courage de passer à l’acte dans un uniforme de Rambo d’opérette, ouvre le feu sur un rassemblement pacifique des femmes et des enfants. « Ne valaient pas plus que des poulets » (Himmler), la vie des 70 morts, atteste la gesticulation théâtrale du méchant abruti, passé en héros médiatique, ovationné par ses condisciples. Se prévalant, assisté d’un avocat de la même farine, de la légitime défense politique contre les sous-hommes, le surhomme starisé le fit savoir implicitement durant son procès avec le poing levé devant les photographes avide du sensationnalisme.

De la même inspiration criminelle sont les déclarations en 1988 de l’avocat-général de la Cour de cassation Alain Terrail. Ouvrait ses pages au propagandiste intouchable, le torchon subventionné de son association professionnelle des juges néo-nazis accumulés au Palais de justice de Bobigny. Proche de mon domicile, de cet antre de charognards dépendait le sort de mes actions en justice, ­‑ dont celles produits à Toulon ‑, sabotées et paralysées par leurs membres militants de l’extrême-droit. De sang-froid, ce magistrat du pinacle de la hiérarchie préconise « le four crématoire » pour éliminer le substitut Albert Lévy. Auprès de palais de justice de Toulon, la vilaine balance dénonçait la disparition dans son service du ministère public la liste nominative de personnalités stipendiées par la mafia ; des documents probatoires déposé la veille de son assassinat par la députée Yann Piat.

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En deuxième année des études universitaires du droit, l’étudiant apprend que l’incrimination pénale se divise en trois éléments. 1° l’élément matériel : les actes et faits perpétrés. 2° l’élément légale : la qualification restrictif par le droit écrite. 3° L’élément moral : grosso modo, l’état psychologique de l’auteur, l’intention criminelle, le mobile (le Pourquoi), son degré de lucidité et les facteurs de l’entourage sociale, déterminant l’étendu de sa responsabilité pénale. C’est en passant derrière un écran de fumée les éléments moraux, l’idéologie et les superstitions des crimes contre l’humanité, la conviction des juges et du monde des observateurs a été méthodique trompés par l’investissement important dans la fabrication académique, judiciaire et journalistique des fausses nouvelles des demi-vérités tendancieuses. L’époque de l’avènement des nazis hitlériens a été marquée par la contamination de la haute société et des artistes toxicomanes par les pratiques sectaires du mysticisme, du spiritisme, de la magie et sorcellerie, la télépathie et autres enfantillages d’illumination dont Hitler a été un des gourous extralucides « infaillible » comme le Pape. La haute hiérarchie des surhommes nazie, notamment Himmler, pratiquaient des messes de spiritisme en groupe autour des médiums drogués.

D’Hitler, de Hess et autres visionnaires illuminés, toutes les décisions aberrantes ont été produites dans leur cerveau détraqué par des drogues par des hallucinations prise pour la télépathie avec les Aryens de la planète éloignée dans l’Univers. Ses crises hallucinatoires du délirium trémens sont interprétées par ses fidèles adeptes, docteurs par-ci, docteurs par-là, en « combat des dieux ». (E.R. Carmin cité). Mais, la prophétie sectaire Thoulé, annonce la purification de la Terre polluée des sous-hommes et des bêtes humanoïdes (*) que par la Troisième Guerre mondiale, si bien que les adeptes l’ont déjà organisé avant même que le Deuxième ratée soit terminée. Dans les procès à l’époque, comme aujourd’hui, il est impensable que les magistrats fassent état dans cette communauté mondiale de détraqués des membres de l’aristocratie de sang et du fric avec tout leur cortège d’académiciens, magistrats, hautes fonctionnaires, ecclésiastiques, les grandes familles, dont la descendance détiennent quasiment tous les pouvoir aujourd’hui pour rêver à la revanche. Or, l’obligatoire enquête sociale en France en matière criminelle sur la moralité des accusés et de leurs fréquentations, aurait mise en évidence les complicités par « instigation, par aide et assistance, fourniture des moyens... ». Impossible et toujours impossible, car l’impossible dépasse les mœurs français, de faire tomber les têtes de la haute société, et, encore plus ceux des receleurs des crimes contre l’humanité.

{(*) La caractérisation des gens de couleur en bêtes humanoïdes provient d’une exégèse abracadabrante des saintes missionnaires en Afrique, pour faire résigner les autochtones ignorantes à la chosification de vils esclaves : Caïn, selon la fable Genèse IV, fils ainé des premiers hommes Adam et Ève, a assassiné son frère Abel. Condamné à la fuite éternelle sur la Terre, en manque des compagnes féminines, le satyre s’est accouplé avec les femelles des grands signes, des Bonobos, Chimpanzés, Gorilles pour donner naissance en Afrique de la race noire ; avec les femelles Orang-Outan la race jaune en Asie, des races humanoïdes chargés du péché capital héréditaire d’Abel. (Pour prouver la véracité de ces fables hallucinatoires, des gynécologues nazis pratiquaient chez des jeunes filles des fécondations ou implantes bestiales dans les camps de concentrations). Nous retrouvons explicitement ou implicitement dans l’actualité ces convictions dans les attaques politicardes, médiatisées contre la Madame la Ministre de la Justice  Christiane Taubira.

La stérilisation des Fruits mélioratifs de l’amour métissés de l’occupation par des militaires noirs des Alliés, après leur victoire en 1918, de la semence ayant « souillée la race allemande », a été le premier objectif de Hitler en 1933. Nous retrouvons le même objectif assassin «de l’épuration de la race française des éléments qui la souillent, les Nègres, les Juifs, les Mongols », chez des ministres néonazis de l’Ordre nouveau  de l’Occident, faufilés dans des gouvernements successives  à l’aide des financements occultes : le giscardien Alain Madelin et autres, en « lutte contre la pourriture démocratique », associé au capo di capo Charles Pasqua, chef des truands du Service d’action civique; Gérard Longuet, en ministre de la Défense dans le régime de Sarko-les-Pots-de-Vin, sans que le juge d’instruction ait procédé à l’enquête sociale obligatoire dans l’information des financements occultes venant de la Suisse, ni les magistrats saisis ensuite dans l’affaire Papon et autres affaires qui en succédaient. De la tentative des crimes contre l’humanité, de l’apologie, la magistrature ne veut rien savoir.}

Ainsi, avec les détails, référenciés sur les pages 4 des blogs, nous voilà au cœur de toutes les maquillages, tripotages et falsifications judiciaires agencées dans les principaux états occidentaux pour assure l’impunité aux plus dangereux criminels contre l’humanité (Casamayor), dont en France l’apothéose des clowns la plus marquante de l’affaire Papon à Bordeaux avec toutes ses répercutions ultérieures. Dans une information pénale sérieuse contre des crimes, surtout s’ils sont collectifs, comme pour l’historien, le facteur fondamental consiste dans la définition de la définition rationnelles de la psychologie ou de la morale des actions incriminées pour en déduire les mobiles qui en l’espèce de l’organisation de la Deuxième Guerre mondiale se précisent par le crédo de la Secte Thoulé des surhommes Aryens d’origine extraterrestre , ‑ dont Hitler a été un des « Grands Magiciens noirs » avec Rudolf Hess ‑, des préceptes récupérés tendancieusement par « les araignes porte-croix » dans la philosophie ironiste de Nietzsche, déclamés notamment par le chef des SS à ses formations et à ses troupes.

Sont toujours actuelles des préceptes de la caricature d’anticipation de ce Nietzche dénigré par une certaine intelligentsia stupide ; aphorismes cyniques dénaturées aux usages académiques des thèses des érudits nazis. Après le putsch de Munich, à la prison de Landsberg, a été procédé à l’éducation du tribun hypnotiseur phénoménal des masses, au conditionnement en meneur (Führer) « l’irresponsable » caporal Hitler ; « paranoïaque » authentique instrumentalisé à l’organisation de « La Guerre totale » du théoricien et stratège de la conflagration wagnérienne, le général Erich Lüdendorf. Ce criminel de guerre d’envergure aigri de la Première Guerre mondiale, est épargné des poursuites judiciaires des Alliés, juste pour lui permettre de faire remettre ça en plus perfectionné en se servant des élucubrations mystiques de la secte Thoulé:

 « Populacier salmigondis, où tout est pêle-mêle avec tout, saint et gredin, et hobereau et juif, et tout le bétail sortie de l’Arche de Noé. De bonnes manières ! Tout chez nous et faux et pourri... C’est la canaille que nous avons fuie, tous ces braillards et ces mouches à viande scribouillardes, la boutiquière puanteur, l’ambitieux frétillement, la fétide haleine, ‑ parmi la canaille fi donc de vivre (...) Et j’ai tourné le dos aux gouvernants, lorsque je vis ce qu’ils nomment à présent gouverner : trafic et marchandage du pouvoir ‑ avec la canaille ». (In Ainsi parla Zarathoustra). « Vous les hommes supérieurs, voici ma leçon : sur la place public, personne n’accorde créance aux hommes supérieurs.... (...) À l’écart de la place publique et de la renommée se fait tout grand ouvre ; à l’écart de la place publique et de la renommée toujours vécurent ceux qui inventèrent des nouveaux valeurs.» Par définition de la philosophie de Nietzche, la qualification « surhommes » est radicalement exclue aux Nazis, pures produits de rebut culturel, stigmatisés par lui la décadence des artifices journalistiques : effets spéciaux grimaciers des mises en scènes médiatiques des manifestations grandguignolesques pour abrutir le grand public crédule,  propagande abrutissant de matraquage, massivement subventionnés par la canaille spéculatrice de la grande finance internationale.

- Pour la théocratie des gourous de l’Empire occulte Thoulé, « les lois de Terre ne présentent aucune valeur : Massacrez et torturez, n’épargnez point ». Déjà en 1924, Hitler et ses initiateurs et mentors académiques, dont des psys, dans sa fameuse profession de foi Mein Kampf (Mon combat), annonçait au monde avisé, militant ou opposant, ses intentions comme il n’a pas plus claire « Nous devons porter sur notre visière le signe distinctif (tête de mort) de que le Ciel même attend de nous ». Dans le combat des dieux en devenir, l’élite de reproduction et machine à tuer, la SS ne devait non seulement donner le matériel de la reproduction pour l’homme nouveau, elle devait aussi être la cellule reproductrice d’une future société d’orientation magico-païenne, la cellule reproductrice d’une nouvelle religion.

« La meilleure arme politique est la terreur. Tout ce qui relève de la cruauté impose le respect. Qu’on nous aime, ça n’a guère d’importance, pourvu qu’on nous respecte. Qu’on nous haïsse même, tant pis, pourvu qu’on nous craigne ». Reichsführer Heinrich Himmler. Dans son discours aux Waffen SS étrangers, dont les « sous-hommes » français de la Brigade SS Frankreich et de la Division SS Charlemagne incluant les volontaires du lieutenant-colonel  (Obersturmbann Führer) SS français Jacques Doriot de la Légion des Volontaires françaises contre le Bolchevisme et de Miliciens du général SS français Joseph Darnand : « Là où nous combattons, chacun devra  savoir que tuer un homme ne compte pas plus pour nous que tuer une poule. C’est la voie sûre vers la puissance totale ». (Sven Hassel).

  « Tolérance et humanité sont signes de faiblesse. L’homme qui ne se sent pas capable de trancher la gorge de sa mère ou de castrer son père est un faible. [...] Que le sang pour vous ne soit pas plus pénible à voir que l’eau.  Jouissez de l’assassinat des traîtres, des intellectuels, détruisez les rêveurs livresques, brûlez leurs ouvrages, écrasez tout cela ! L’État national-socialiste compte trois ennemis : les prêtres, les juifs, les intellectuels. Si vous ne trouvez aucun reproche à leur faire, inventez les reproches ; ne les lâchez pas... [...] Ceux qui entrent vivant derrière les barbelés de nos camps en sortiront morts, mais laissez-leur d’abord le temps d’apprécier le séjour que nous leur réservons... » Discours du 1° octobre 1933 au cours de l’installation du KZ de Dachau, inspecteur général de K.Z. Standartortenführer (colonel encore du sinistre Régiment Tod, (Mort) Théodor Eicke.
- Dans la philosophie ironiste de Nietzche, philosophie officialisée par le parti nazi, dans « Ainsi parla Zarathoustra », les nazis se sont identifiés en peuple des arrivants, des géants blonds de la belle race ayant dans une beuverie « tué et enterré Dieu » pour partir ensuite en surhommes à la conquête du Monde : «Aimez la paix comme moyen pour des nouvelles guerres (...) la guerre et le courage ont plus fait de grandes choses que l’amour du prochain. (...) J’aime les vaillants, mais il ne suffit d’être sabreur, - il faut savoir aussi qui sabrer ! [...] Brisez, me brisez donc les gens du bien et les justes, (...) Rébellion ­‑ c’est distinction des esclaves. Que votre distinction soit d’obéir ! Que votre commandement lui-même soit obéissance. Retenaient les Nazis  de la prophétie cinglée  de Zarathoustra Retenaient les Nazis de la prophétie cinglée de Zarathoustra, interprète des idées de Nietzche, pour en faire le fondement essentiel de leur idéologie politique.

(Les opéras de Wagner, qui ont rendu fou Hitler à 16 ans par la mise en musique géniale, accumulent les pires sottises de toutes les superstitions les plus abêtissantes de la sorcellerie, de la magie blanche contre la magie noire, des hérésies chrétiennes du moyen-âge, des fables stupides des Niebelungen associés aux Chevaliers du Graal, à la lance magique qui a achevé Jésus sur  la croix, des sirènes maléfiques combattus par les preux chevaliers germains pour le salut d’une pure princesse, finissant dans l’apocalypse guerrière du dieu Wotan avec l’au-delà avec  les Walkyries...)

Avec l’occultation de ces informations judiciaires préliminaires, par une magistrature de paillassons ouvertement militantes syndiqués et « subventionnés » en douce à la direction des institutions, en se prenant pour des surhommes, les humbles justiciables pour des sous-hommes à rouler dans la farine, est consommée la défiguration de la totalité des procès nationaux ou internationaux contre les Nazis. Avec le maquillage de l’Histoire, l’observateur impartial ainsi démystifié constate par les requalifications ci-dessous des escroqueries judiciaires le jeu pervers concertiste entre accusateurs et révisionnistes : coupeurs de cheveux en quatre rivalisant de leurs mises en scènes et artifices coupables consistant de concert, par un étouffant raz-de-marée d’argumentaires artificieuses, oiseuses de laisser le grand public dans l’ignorance totale des tenants et aboutissants des crimes contre l’humanité. Allégués en hypothèse désinformatrice par les révisionnistes, l’argumentaire de Jean-Jacques Fouché (*), « les SS ont construit leur justification du massacre avant même de le perpétrer » est un fait d’une évidence qui saute aux yeux même d’un aveugle. Le dynamisme des victimes enragée et leurs associations de défenses est exploité méthodiquement dans  des parodies de justice s’efforçant de maintenir l’écran de fumée devant la responsabilité des organisateurs, exploiteurs, profiteurs-receleurs des crimes contre l’humanité de la Deuxième Guerre mondiale. Les preuves irrévocables dans l’affaire Papon étendue dans une grande partie des juridictions en France, ne constituent des échantillons tirés d’une indécrottable pratique généralisée. ((*) Oradour. La politique et la justice, Éditions Lucien Souny, 2004).

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Chez les membres inscrits au parti nazi des surhommes, comme pour leurs acolytes sous-hommes du parti fasciste, à plus forte raison pour les SS assermentés à l’exécution du génocide de purification raciale, annoncé par une littérature sans équivoque, diffusée à tambour battante et planifié au vu et au su de la société internationale, l’exigence légale et judiciaire de la France de l’individualisation de l’élément morale relevait après la Deuxième Guerre mondiale de la pure utopie humanitariste : l’acquiescement collectif sans réserve est intrinsèque à leurs engagement enregistré, accompagne de leur militantisme violent, meurtrier pour la conquête et pour la mise aux mains des criminels vantards le pouvoir despotique absolu et sans partage: « Emparons du pouvoir. Nous le rendrons jamais quelque soient les moyens pour le conserver ». 3 janvier 1932, Joseph Goebbels, Ministre de la Propagande et de l’Éducation du Peuple.  « C’est le pouvoir que je veux. Lorsque nous l’aurons obtenu, nous le garderons. Personne ne nous l’arrachera plus ».  Discours d’Hitler à Munich le 30 novembre 1932. « Nous jurons de ne jamais épargner le sang. Que ce soit le nôtre ou celui des étrangers, si la Nation le réclame ». Himmler, article du Volkischer Beobachter, 17 janvier 1940.
Le Nazis, c’est l’Ordre nouveau des surhommes de souche extraterrestre avec leur religion rocambolesque du gourou extralucide Hitler. Les Fachos, c’est l’ordre ancien du Saint empire germanique : la hégémonie spirituel de l’Église, l’absolutisme temporel des régents germaniques sacrés, les privilèges de l’aristocratie au sang bleu, secondée de la noblesse de robe (robins), du corporatisme et le servage du menu peuple taillable et corvéable à merci ; la conservation du pouvoir à l’aide des autodafés individuels et collectifs. Inquisition par des détraqués spirituels, jugements de Dieux, tortures rituels précédant des mise à mort par le supplice sur le bûcher et d’autres boucheries judiciaires en grand spectacle sur la place public de ce genre fantasmatique des intermédiaires d’un Dieu imaginaire. Pour les nostalgiques cathos du fascisme, Hitler et ses « barbares » sont des envoyés de Dieu comparable à Clovis I, sacré par l’Évêque hérétique Remi de Reims. Avec sa sorcellerie incantatoire fut détruit pour dix siècles en Occident avec les hordes de pillards, violeurs et cannibales « tout ce qui a été noble sur Terre », mise en  musique par Wagner : « La Crépuscule de Dieu » qui s’achève dans une orgie de feu et de destruction, selon la prophétie Zarathoustra, ironisée par Nietzche.

 Pour le Nazis, c’est la légende sacrée Nibelung, leitmotif de la musique de Wagner, la lutte pour maintenir la civilisation des Goths, chrétiens cultivés, contre les Francs païens victorieux, instrumentalisés par une secte des hérétiques chrétiens se servant des superstitions des adorateurs du dieu de la guerre Wotan, son paradis des guerriers Walhalla, les déesses Walkyrie, convoyeuses des âmes des guerriers tués, leurs concierges, hôtesses et barmaids dans l’imaginaire Au-delà derrière les nuages.

Certes, parmi les premières victimes des camps de concentration ont été des valeureux ecclésiastiques et religieux cathos et protestants à côté des Allemands de principes intransigeants, à éliminer en priorité, en raison de leurs convictions de de Justice et de l’humanitarisme. Néanmoins, un grand nombre des saints hommes avec le Pape, en Allemagne comme à l’étranger, voyant en Hitler le Sauveur providentiel, proclamant haute et fort la nécessité d’éliminer massivement les Juifs et la restauration du Saint Empire germanique pour extirper les idées du matérialisme historique, le venin athéiste du juif Karl Marx. Et comme le sauvetage divin ne pourrait s’accomplir par la Troisième Guerre mondiale, selon la prophétie des télépathes de la secte Thoulé, après le débâcle militaire, l’Église fut le premier protecteur des pires de criminels contre l’humanité, fit procéder clandestinement par leurs filières monastiques et la Croix rouge à l’exfiltration des criminels avec leurs capitaux spoliés. (Détaillé par E.R. Carmin cité).

En France, à partir de 1941, le père spirituel et instigateur selon la terminologie pénale de la collaboration militaire fut la nazie assermentée à la fois à Hitler et au Pape, Monseigneur de la curie romaine Jean, Compte de Mayol de Loupé, nommé en 1941 lieutenant-colonel SS par ordre spéciale du Reichsführer Heinrich Himmler. D’un compte du Saint empire germanique, ne coule pas dans ses veines le sang bleu des valeureux ancêtres, compagnons d’armes de Clovis I, de Charlemagne et de leurs successeurs aux tares héréditaires se manifestant périodiquement au cours de l’histoire ? Il est permis de s’interroger si ce traître de l’armée française ne fit pas partie du club des aristocrates du roi déchu Éduard VIII d’Angleterre ayant livré la France à leur conjuré Hitler. Par son ascendant sur les croyants, sa sainteté a envoyé à la mort en ex-Union des milliers des Français de la Légion Volontaire Français et des Brigade et Division Waffen SS. Hélas, le sacré protège les religieux de la condamnation blasphématoire à pendaison par leurs coreligionnaires de la magistrature. Des victimes de son ascendant spirituel furent fusillées. Sa sainteté des anges noirs aux têtes de mort a écopé dix ans d’emprisonnement en France. Mais beaucoup de ses homologues en Europe continuaient d’user et d’abuser de leurs néfaste influence spirituelle dans leurs activités criminels, notamment des évêques en Suisse. En tout impunité.

Lors du procès de Nüremberg, les groupes du genre SS ont été reconnus comme organisation criminelle. : « Tous les individus appartenant à cette formation ou à ce groupe peuvent être considérés comme coauteurs... Chez les Nazis, est intrinsèque et implicite leur participation, selon la portée des articles 59 et 60 du Code pénale 1806. Or, selon une saine logique juridique conforme aux droits fondamentaux, quand le lien de responsabilité de coactivité ou de complicité s’établi au rang sociale du bas, à plus forte raison, il s’établit au rang social du haute.

Sur le plan du droit pénal, la responsabilité de cette catégorie d’évêques, des membres « aideurs et assistants » du gouvernement de Vichy et des officiers français ou étrangers des Waffen SS internationaux des sous-hommes ne se limite pas aux crimes perpétués en ex-Union soviétique. L’envoie massive des sous-hommes des unités Waffen SS étrangers en ex-Union soviétique a rendu disponibles l’unité authentiques des surhommes Waffen SS Das Reich pour les massacres tels qu’ils ont été perpétrés en Oradour-sur-Glane. Ainsi, selon les dispositions des articles 59 et 60 du Code de pénal 1806, seul valide encore aujourd’hui, les membres du gouvernent de Vichy, coauteurs sans équivoque des crimes contre l’humanité, devrait être tenu comme responsable des massacres perpétrés en France comme à l’étranger. (Dans le Code pénal 2012, « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale », par des dépénalisations astucieuses, les criminels comploteurs de la haute société, coauteurs, complices et receleurs, déjà engagés dans les tentatives criminelles de revanche, ne peuvent plus être sérieusement inquiétés. Depuis 25 ans, mes dissertations juridiques et exposés judiciaires sont immédiatement suivies des modifications de lois pour les désamorcer).

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Après des massacres en beaucoup plus grande échèle en ex-Union soviétique, le massacre des 648 victimes du petit village française d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944 a fait objet pour crimes de guerres des procès devant le Tribunal militaire spéciale à Bordeaux en 1951, créée par une ordonnance de 1944 et dont les dispositions se sont toujours trouvées en vigueur jusqu’en 1990 dans le Code pénal 1806. Tribunal composé en partie d’anciens résistants et de Force françaises libres. (Notons la présentation sur le Grand écran de Paris dans les années 1995 un film saisissant sur le massacre bestial et les viols sadiques perpétrés dans un village en Biélorussie par les Waffen SS).
Les massacres furent perpétués par la Division Waffen SS Das Reich. Ce ne sont pas des militaires de l’armée régulière de l’Allemagne d’alors. Il s’agit de l’unité armée des militants politiques du parti nazi, en dehors et supérieur à l’armée régulière, de la Wehrmacht, SS commandés au sommet par le terreur de Reichsführer SS Heinrich Himmler, hiérarchiquement au-dessus des chefs militaires de l’Armée. Le crédo connu de leur idéologie, il est absolument inconvenant traiter des exterminateurs assermentés devant les juridictions comme des volontaire militaires. Pour rentrer dans l’SS, il fallait au candidat apporter d’abord la preuve de sa pureté raciale jusqu’au huitième degré de la généalogie, ensuite, la preuve de l’acquiescement totale à l’idéologie du conquêt du Lebensraum par la méthodique extermination des sous-hommes, des bêtes humanoïdes et des bâtards. (En 1933, Hitler réalisait son premier objectif : la stérilisation des souillures de la race, des fruits d’amour des allemands avec les « bêtes humanoïdes » de l’armée d’occupation de la Première Guerre mondiale). Ils s’en suit, par le raisonnement du droit pénal français, les SS, à l’instar de tous les promoteurs, ne doivent pas seulement répondre des crimes personnellement perpétrés, ils doivent répondre de leur participation coupable à l’organisation préalable des génocides et boucheries dans les camps de concentration.

 « Qui veut le but, veut les moyens », mêmes inconnus par les complices, selon la jurisprudence française appliquée aux petits gangsters du droit commun. Impossible d’appliquer le droit strict aux millions de monstres illuminés ou ensorcelés par le mysticisme délirant de la secte Thoulé, ayant débuté d’étendre sur la terre entière le cataclysme du mythe aryen, de l’apocalypse mise en musique par Wagner. En droit français, la tentative criminelle est punissable comme le crime lui-même, avec la complicité par instigation, aide et assistance, fourniture des moyens... à la réalisation de la prophétie Thoulé, dont l’acquisition de la victoire finale ne se réalisera par la Troisième Guerre mondiale. Ainsi, dans le droit strict appliqué aux criminels du droit commun, les massacreurs d’Oradour-sur-Glane seraient ténu non seulement des crimes accomplis, mais encore de ceux qui ont déjà tentés d’accomplir dans le cadre de l’idéologie de leur parti des fou furieux. Impossible ! Où trouver les juges impartiaux en nombre suffisant avec la corruption élevés à la hauteur des institutions gouvernementales par la Légion d’honneur et des pots-de-vin ?

Le procès de Nüremberg a accouché l’incrimination « Crimes contre l’humanité » et le principe appliqué aux auteurs SS, reconnus comme organisation criminelle, « la responsabilité collective ». La dernière incrimination est reprise par le droit français en 1948, après les révélations au gouvernement du sinistre d’Oradour-sur-Glane. Or, si on estime que, selon le droit fondamental, le droit est égal pour tous, les poursuites ne peuvent pas se limiter aux condamnations de quelques individus symboliques en sous-ordre. La Morale républicaine, l’éthique judiciaire exigerait à ce que soient poursuivis de prime abord les instigateurs de la haute société politique et économique, des instigateurs, aideurs et assistants, fournitures des moyens financiers, industriels, politiques, judiciaires.... les receleurs de crimes contre l’humanité, continués par des crimes politiques et de guerre de l’actualité. Avec leurs larbins, tels que Papon, aux leviers de commande du régime, les criminels cardinaux se foutent à présent du tiers et du quart avec leurs momeries des hypocrites vu tout au longueur des procès référenciés aux blogs : de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation, du Conseil d’État, de la feue Haute Cour de justice, de la Cour fantôche de la République de la substitution, de la Cour européenne des droits de l’homme, de la Cour pénale de la communauté européennes et même des deux Comités de l’O.N.U.

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Au courant mouvementé des manifestations littéraires, (essentiellement celles des auteurs édités par Alain Moreau et de l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné), sur la concertation de la criminalité politico-judiciaire, par les besogneux scribouillards appointés de la canaille multimilliardaire, a été planté un immense arbre de désinformation devant tout une jungle des crimes impunis du grand banditisme international : des truands, maître-chanteurs, escrocs, proxos, trafiquants, faux-monnayeurs, voleurs, sombres spéculateurs et receleurs du Service d’Action civique, suppôts des anciens ministres des gouvernements des régimes d’après de De Gaule. Après mon implantation dans le système funeste, contre leurs intouchables protégés mouillés dans les criminels contre l’humanité de la Deuxième Guerre mondiale, furent joué dans mes mains, anonymement, une documentation édifiante à l’usage d’analyse et de la présentation à la Justice. (Une grande partie a disparu lors de mon arrestation illégale à Castres en 1981).

« L'incompétence peut être soulevée par toutes les parties, dont la seule partie civile à tous les stades de la procédure, même pour la première fois en cassation », est le principe posé par la jurisprudence de principe de la Cour de cassation citée dans tous les recours. Dans les procédures indéfiniment traînées en longueur à l’aide des artifices des forfaitures prévaricatrices d’excès des pouvoirs des juges faussaires légalement incompétents, a été verrouillée hermétiquement l’extension des poursuites légale du complot qualifié aux personnalités statufiées de la Haute société politique et du fric, aux usurpateurs des pouvoirs publics des régimes successives. Contre ces « gangsters d’État » (au profil marqué de l’ennemi de l’intérieur),  pas à pas, furent produites les références judicieusement commentées des ouvrages édifiants des historiens dont des magistrats noyautés refusent illégalement et obstinement de prendre connaissance dans l’enquête sociale obligatoire par la loi, de l’établissement de l’élément moral pour les répressions des crimes dans toute leur étendu.
Le départ dans les années 1977 à Castres et à Toulouse, a été donné par l’ouvrage d’Alain Jaubert « D... Comme drogue » éd. 1973, établissant les accointances et connexions internationales du milieu politique avec la canaille proxo et trafiquante, ­‑  comme les définissait Nietzche déjà ­‑, avec le crime contre l’humanité de la collaboration nazie et fasciste en France. Par ce fin compilateur d’Alain Jaubert, renseigné de services de polices nationales et étrangers, est établi le prolongement historique des crimes de l’antenne SS de la rue Lauriston à Paris. Son fabuleux trésor des spoliations nazies transité à travers du dispositif militaire des Alliés, s’est trouvé à la source des trafics de drogue de la French connexion, de alimentation les comptes secrets en Suisse des anciens ministres avec en tête Michel Debré avec ses « copains et coquins » (Ponia) du Rotary placés à tous les leviers de commandes de la République.

Dans les compilations d’Alain Jaubert, (un best-seller produisant un scandal à l’époque), sont relevés aux magistrats du ministère public, plus tard à la commission parlementaire d’enquête sur le grand banditisme de la police parallèle « Service d’Action civique », le sort des détenteurs des secrets d’État au gouvernement : les trucides des ministres Boulin (franc-maçon de la Grande Loge Nationale française), Fontanet-la-balance, D’Ornano du Rotary, sous l’égide du Sénat, intouchable escroc  de haute vole bien marqué. Par leurs proches circonvenus, les procédures truquées font toujours objet de contestations médiatiques truquées : des demi-vérités par l’omission des facteurs principaux. En isolant dans les interminables mystifications journalistes les faits indivisibles du contexte général, les mystères sont conservés intacts pour les communs des contribuables et électeurs  illusionnés de la désinformation.

Avec moi en passager clandestin, le train d’enfer politico-judiciaire fonçait vers les trucides d’autres détenteurs des preuves de ces compromissions criminelles des flambeurs de la Haute aux belles manières, plein aux as par le crime organisé.  Mais harcelé sans répit à Toulouse, j’ai raté le train pour Marseille vers l’affaire de la tuerie d’Auriol dans laquelle succombèrent l’inspecteur de police Jacques Massié, torturé et massacré avec femmes et enfants pour la récupération de ses microfilms des comptes secrets en Suisse et les noms de leurs augustes bénéficiaires. J’ai été empêché de prendre le train en marche pour intervenir dans les procédures du juge Pierre Michel pour qui « tout est lié », assassiné à Marseille: moralement par son hiérarchie des voleurs, physiquement par des killers de la Brise de Mer soufflée par l’environnement la pègre des trafiquants de drogue de Charles Pasqua. Ce n’est qu’après l’évasion de la haute sécurité psychiatrique, il m’a été rendu possible de reconstituer ma documentation, d’inclure ces affaires indivisibles dans les procédures débutées. Crim. N° 84 95‑707 du 20 juin 1985. Berthiau homologue les obstructions de justice par des faux en écriture de la Chambre d’accusation d’Aix-en-Provence.

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À Nice, la capitale de la Mafia, selon l’écrivain des romans d’espionnage Grahame Green, maudissant ses princières blanchisseries de l’argent sale, s’est agglutinée  toute une faune criminelle allant de la Franc-maçonnerie déviante, du Rotary aux sociétés secrets vermoulues de l’extrême droit facho-nazie, alliés à celles de la Chevalier de Malte de la coterie du Comte et grand-maître Licio Gelli de la maçonnerie déviante du Vatican. Avec mon déclinatoire de compétence, je me suis fait mouiller dans cette pas drôle salade judiciaire à la sauce niçoise par l’exigence du renvoi en bloc devant la Haute Cour de justice les concertistes du  combinard de ministre-maire Jacques Médecin de la Giscardie. De sang-froid, à Paris, une clique nombreuse des membres du Conseil d’État, manifestait dans la salle d’audience de la Section du contentieux contre la poursuite judiciaire renvoyé de Nice du célèbre parrain, au lieu de révéler la violation ostensible pour eux de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice.

 Repenti dans sa retraite au Paraguay, stigmatisant en honnête home abusé, son entourage de Nice en manipulateurs pourris, le frétillant ex-ministre-maire Jacques Médecin, en excellente forme, claque d’une manière surprenante dans  les  mains de ses  médecins. Il se trouvera bien un écrivain qui fera son affaire de la suite du feuilleton des légendes de Grahame Green, de conjecturer sur mystères de la disparition au parquet de Nice de la liste nominative des illustres détenteurs des impressionnantes comptes numérotés dans les banques suisses.

De l’épopée d’Albert Spaggiari, dans les comptes rendus du casse du siècle en France du coffre forte de la Société générale à Nice du 17 au 18 juillet, le faux des vrais est difficilement à démêler pour un particulier placé en dehors du système tordu de la municipalité de Nice. Ancien para vidée de l’Armée en Indochine en raison d’une condamnation criminelle, Spaggiari s’accoquine avec le grand banditisme. En militant dans l’Organisation d’Armée Secrète (O.A.S.), il s’est fait créer le profil d’un aventurier mégalo à la sensibilité à l’extrême  droite, plutôt qu’un véritable gangster du bas-fond sans foi ni loi des bandes de la pègre du ministre d’État Charles Pasqua. En dernière analyse, le butin du casse du siècle aurait été destiné à financer les machinations secrètes de l’association d’entraide néonazi-fasciste « Caténa » (Chaine). La légende et le profil laisse supposer l’imbrication de cette association secrète, semblant à la « Kameraderie » allemande, à l’organisation pseudo-maçonnique du Vatican de Licio Gelli, grand dignitaire fricoteur aussi de l’Ordre de Malte. Toute est lié dans ce complot international contre la démocratie et les droits de l’homme.

Les familiarités de Spaggiari avec milieu politico-crapuleux de Nice de Jacques Médecin et de son adjoint Christian Estrosi, futur ministre-maire de Nice, explique le spectaculaire de organisation de son évasion le 10 mars 1977. Tandis qu’à moi, les juges me firent mettre des menottes au poignet et aux chevilles, le gangster Spaggiari non entravé saute de la fenêtre du bureau du juge d’instruction. Sept mètre plus bas, une voiture est garée sur le trottoir pour amortir la chute. Par l’avocat de Spaggiari, maître  Jacques Peyrat, futur maire de Nice, militant de l’extrême droite, le sacré champion « motodidacte » Estrosi, son rival, est accusé d’avoir été le pilote de  la moto ayant pris en charge la fuite sensationnelle du Palais de Justice.

Tandis que des complices de Spaggiari sont assassinés par des killers, les documents déclassifiés du C.I.A. attribuent à cet aventurier des accointances au Chili avec la junte du général Augusto Pinochet, ses compromissions dans l’assassinat l'ex-ministre de Salvador Allende : Orlando Letelier. Dans ses périples en Argentine, les commentateurs attribuent encore au mercenaire Spaggiari des accointances avec les sommités militaires d’Argentine, impliquées dans le narcotrafic international. Les jalons sont placés aux amateurs de poursuivre de ce feuilleton, car mon élimination judicaire avec le déclinatoire de compétence dans les procédures traficotés à Nice fait obstacle à l’acquisition de la prescription, même à la validité des jugements radicalement nulles pour fraude et incompétence légale, de la suppression de mes actes de procédures, et, à l’application des autoamnisties. (Fin page 3 des blogs).
En 2007, l’aspect allégué de l’organisation criminelle à Nice prend un autre aspect par la publication du livre « Beaux Voyous », (éd Fayard) de Thierry Colombie, historien du crime organisé en France, et, du livre en 2010,  « La Vérité sur le casse de Nice », de Jacques Cassandri, alias Amigo, compagnon d’Albert Spaggiari. Ce dernier prétende que Spaggiari n'a jamais été le cerveau de l’organisation du casse du siècle, se targue de cette gloire. Quoi qu’il en soit, pour s’orienter dans les souterrains de la ville, faire creuser un tunnel en ligne droit vers la chambre des coffres de la Banque, quel est le gangster dans le cercle du ministre-maire Jacques Médecin et de Spaggiari, disposant la compétence technique ?

 L’autre historien, Marcel Caille, s’oriente judicieusement vers l’homme le plus efficace en matière de travaux publics et du banditisme de l’extrême droite : le discret et efficace feu Michel Falicon, conseiller et guide de Jacques Médecin à la Marie de Nice et au gouvernement, son copain dans le Rotary. L’ancien para et judoka Falicon est réputé pour son amour des manières fortes et son égide judiciaire sans défaillance. Cet ancien des nazis de l’Occident, flirtait avec le S.A.C., puis préside le Cercle niçois du Club de l’Horloge de l’élite intellectuelle de la droite nationale, pour cultiver des prometteuses alliances électorales avec les minus habens du Front national de l’avocat Jean-Marie Le Pen : « Mon crédo, c’est celui qui a imprégné tout histoire de la France depuis le baptême de Clovis I ». En claire, pour cet étron crotté par Marianne cocufiée sur les fauteuils du Parlement européenne, grâce aux relations de bon voisinage entretenues avec le Président Christian Le Gunehec, le crédo c’est, voire infra, l’anéantissement tout ce qui est de noble sur Terre avec l’extermination des sous-hommes gaulois à l’aide des barbares d’outre-Rhin. Ce baveux avec son confrère Me Gilbert Collard crotté sur les fauteuils de l’Assemblée nationale, ses abrutis de partisans sont des typiques excroissances dépravantes, à en croire à leur philosophie chérie de Nietzche travesti.

Échappé miraculeusement des poursuites judiciaires de ses abus de confiance et escroqueries, avant le fameux casse du siècle la Société générale à Nice, Michel Falicon se rende avec Spaggiari à Milan au congrès facho-nazi de l’Ordre noire.... aurait été révélé aux juges d’instructions par l’orientation obligatoire de leurs enquêtes sociales dans la direction des intouchable du système « de la république des copains et des coquins, (stigmatisé à l’époque par l’ancien ministre de l’Intérieure Michel Poniatowsky). Ces braves parjures intéressés du palais de justice de Nice ont de loin préféré de me menacer des poursuites judiciaires, si j’oserais de ramener encore ma fraise dans leurs salades niçoise du nouveau blanchissement de Michel Falicon avec ses copains du sublime Rotary amalgamé à des sociétés, cercles ou clubs secrets. Pour relaver plus blanc le récidiviste feu Falicon accusé derechef d’escroqueries et détournements de fonds, il fallait laisser trucider par cette association de malfaiteurs cet intrus impertinent de juriste Dietrich osant de leur mettre les points sur les « i ».

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Plus moyen de débarquer du train d’enfer avant sa bifurcation vers Toulon sur les mystifications judiciaires de l’assassinat de la Député Yann Piat ; à Draguignan sur celles l’assassinat des frères barbouzes Fernand Saincené. Ensuite la machine infernale me déportait à Lyon et à Grenoble pour taquiner la clique des ministres vendus Carignon, Léotard, Noir et autres gros légumes dans le jardin de leurs juteuses combines mafieuses propres à la République des copains et les coquins (Ponia). Même l’observateur myope et borgne, n’y pouvait manquer de constater des compromissions du fertile frère Charles Giscard d’Estaing, et, bien sûre, l’incontournable avocat des cartels multinationales : maître Sarko-les-Pots-de-Vin. En décollage rapide sur son tremplin politique construit amoureusement par le bétonneur Télé-Bouygues et, dans la magistrature des revenants de la Grande Loge Nationale de France d’obédience catho-chambordiste, légitimiste de de la dynastie Clovis I, lignée bâtardisée par le capteur Charlemagne. « Tout est lié ».

Lance sur orbite la nouvelle star de la République spectacle Sarko-les-Pots-de-Vin, cette coterie gangrénée des grands commis d’État hautement emmédaillés, des cumulardes appointées en tâcherons au noir des conseilleurs juridiques des astuces des combines ou des procédés de fripouilles tortueuses pour éviter les poursuites judiciaires, souvent même  des administrateurs dans la société des milliardaires trafiquants. (Le tripatouilleur Président Jean-Claude Magendie du T.G.I de Paris, maçon de la GLNF dans le conseil de surveillance d’une société de Télé-Lagardère, marchand d’arme). Sarko-les-Pots-de-Vin, cette ancienne calamité des ministères et de la Banque de France sinistrés, est hisse sur pavois de la Présidence de la République à l’aide des financements occultes des élections. Sa séduisante maitresse des « fellations » audiovisuelles, placée en tête du ministère de la Justice. Les juges d’instructions incorruptibles dessaisis des dossiers brûlantes, insultés de ses ministres postiches.  Dans ce gouvernement des fantoches usurpateurs de pouvoirs publics, ce flambeur des fonds publics, Sarko-les-Pots-de-Vin, en baladin de comédie dans son cortège de laudateurs, a su faire trouver chez les  mafieux les moyens de me faire régler définitivement le compte par la mobilisation de ses affidés du Milieu connecté aux ripoux de la police et d’une organisation encore inconnue.

 Est encore une autre histoire dans ce feuilleton sur la Côte d’Azur, les machinations affairistes dans le système pourri du ministre de la Culture puis de la Défense François Léotard. Bazardant à la mafia la base aéronavale de Fréjus, l’honnête homme chagriné se trouve mise en cause à l’opération des services secrets de l’Armée de l’exécution de l’assassinant de la députée Yann Piat à Toulon : « des Assassins au Cœur du Pouvoir », narrés au juge d’instruction de Draguignan par André Rougeot et Michel Verne, journalistes du Le Canard enchaîné. Offusqué et vindicatif, cet autre usurpateur de pouvoirs légaux de la Haute Cour de justice, fonce à Paris, tracasse les journalistes pour ternir l’éclat de leurs lumières par l’intimidation des émules.

 À qui a profité les détournements des fonds destinés à l’indemnisation des victimes de Fréjus la rupture du barrage de retenu d’eau... ? Pour noircir ma bonne réputation par la provocation et ramassage des calomnieuses ragots et commérages intéressées par les psys de Toulouse et de Cadillac, près de Bordeaux, l’enquête sociale illégale en France à l’aide de subornation et retournements des familiers en bonne intelligence, a impliquée même mon irréprochable défunt père en Suisse Paul Dietrich, jadis un modeste entrepreneur. De son implication inconsidérée, fantasque, la fripouille française ne pouvait s’imaginer des conséquences inopinées en perspective.

Finalement les procureurs et juges, sous le coup de leurs dirigeants d’arrivistes, carriériste dénués de tout scrupules, mercantis et spéculateurs de la Grande Loge Nationale Française, du Rotary... firent dérailler le train d’enfer dans la voie de garage des juridictions à  Bourges, Bobigny, Créteil et Paris. Ces pérégrinations à travers les principales juridictions putréfiées de la France sont plutôt comparables à la croisière d’une benne à ordures télécommandée aux balayages, ramassages et aspiration des déchets institutionnels : un bahut surchargé de la pourriture contagieuse, mise en panne sèche par les exactions vindicatives du Fisc, les pneus crevés par les voyoucrates du ministère public, irrémédiablement encastrée dans le mur du silence de la conspiration politico-mafieuse friquée de la honorable haute société hors soupçon.

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Avec les poursuites du fringuant ministre du Budget Maurice Papon, un monument d’arrivisme dévergondé de la clique des conjurés contre les droits fondamentaux de la France, il a été dans la logique de l’évolution judiciaire, l’embarquement au diabolique train de enfer cette vidure faisandée du régime canaille, mêler la vidure à l’aspiration de tout ce tas pourriture dans la benne à ordures avec la procédure ouverte à Bordeaux en 1981 contre ce prétendu complice des crimes nazis et fachos contre l’Humanité.

L’ouvrage essentiel référencié et commenté aux juridictions successives fut celle de l’historien Carmin E.R. « Guru Hitler » (ISBN 3-7263-6446-3 en allemande, épuisé et refondu DAS SCHWARZE REICH, éd. Nicol 2011). L’auteur y lève le voile sur les dissimulations judiciaires du caractère mystique et spiritiste du nazisme : un fait changeant totalement la nature et les caractères de l’étendu de l’élément moral de leurs crimes contre l’humanité... Après les révélations de la boucherie des sous-hommes gaulois d’Oradour-sur-Glane par les surhommes aryens de la Waffen SS, aux coauteurs du Régime de Vichy est applicable l’extension juridique sans équivoque, dans le temps et l’espace, de la responsabilité collective légalisé en France seulement en 1948. Au lieu d’en faire droit aux revendications avisées, comme en Allemagne, à leurs homologues d’impénitents assassins de masses, en 1958, cinq ans après le procès d’Oradour-sur-Glane, tous les condamnés sont libres. Pour remettre ça, financés par des industriels dans les coulisses, protégées de la Justice, les rescapés des Waffen SS français projettent même de renverser la IV° République par le Complot du Plan bleu, en compagnie des camelotes du Roi et autres zèbres de l’extrême droite. Encore une autre affaire étouffée par la connivence judiciaire effacée de la petite Histoire de France.

 Or, si, à la Libération de 1944, la loi et la justice sont redevenues égales pour tous par le déterrement du cadavre de la Déclaration des Droits de  l’homme et du Citoyen de 1789, la responsabilité collective s’applique logiquement, en toute égalité, à tous les composants du crime organisé du passé, du présent et du futur, au niveau inférieur comme au niveau supérieur des partisans : aux marionnettistes qui dans leurs pantoufles tirèrent les ficelles dans le confort douillet de l’ombre, comme aux marionnettes de leurs troupes de crétins ou crétinisés, bien comparables aux hordes SA du terrorisme initial de Hitler, têtes rasés en uniformes soldatesques, bottés, abrutis du matraquage haineuse de leur propagande délirante, de l’intox calomnieux et leur désinformation infantilisant visant de laminer au plus mince les idées reçues, les préjugés des hommes-masses.

De l’organisation au sommet des crimes contre l’humanité, l’ouvrage référencié d’historien américain John Costello dévoile ensuite l’opération de sauvetage de l’Occident par Wilson Churchill et ses services secrets MI 5 et MI 6. Malencontreusement ces agents sont tenu au silence par assermentation au régime de  la Monarchie, amputant ainsi le dévoilement complet du complot international dont fit aussi partie le traitre vendu Joseph Kennedy et ses affidés aux États Unis. Est dissimulé à la Justice, l’organigramme de la conspiration de la Haute société internationale s’apprêtant à livrer l’Angleterre à Hitler, l’annuaire du « Right club », redécouvert dans le coffre-fort de leur avocat après son décès.
Le voile sur le complot international de l’aristocratie de l’Église, du sang et du fric ne fut levé qu’après la faillite d’une banque anglaise. Le célèbre écrivain des romans d’espionnage Ian Fleming, ancien officier supérieur des services secrets anglais,  y avait déposé dans le coffre loué son manuscrit à tenir secret durant cent ans pour ménager la royauté du scandal. Les héritiers furent des citoyens américains. Se croyant rentré en possession d’un manuscrit de valeur d’un nouveau best-seller sur la légende de James Bond 007, ils ne revenaient pas de leur surprise de trouver dans leurs mains les récites détaillés de la haute trahison du roi déchu Éduard VIII, adepte drogué, accoquiné de longue date avec ses gourous Hitler et Hess, lui livrant avec ses créatures dans l’état-major interallié les secrets de la défense occidentale, politiquement minée et militairement sabotée auparavant avec les services secrets Nazis (SS/SD) et celles de l’Armée allemande (Abwer).

De son côté, l’historien anglais  Martin Allen divulgue les détails de la haute trahison militaire dans son ouvrage « Le Roi qui a trahi », la dissimulation par la justice française à Alger en 1943, avec celles des USA ensuite,  des trahisons et sabotages combinés en concert avec des autorités françaises.
C’est avec la suppression criminelle de ces informations fondamentaux, avec la suppression du présentateur constitué partie civile par voie d’intervention, fut mené tambour battant les tripatouillages du procès Papon et les procès juridiquement connexes et indivisibles de ses grands acolytes laissés en repos. Au cours de plusieurs audiences publiques, des noms des heureux bénéficiaires du crime judiciaire organisé, (avec les détails de leur méfaits), ont été nominativement et contradictoire présentés aux juges, et aux procureurs et aux avocats et à la presse soudoyée.
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Michel Slitinsky, en jeune homme échappé de la rafle policier des juifs par le toit et rentré dans la Résistance, à la Libération en justicier s’est penché sur les archives poussiéreuses de  la Préfecture de Bordeaux, y recherche les responsables de la déportation de sa famille, de l’extermination dans les camps de mort de la Deuxième Guerre mondiale. Il y a découvert les documents signés par l’ancien secrétaire de la préfecture Maurice Papon, un carriériste dénué de tous scrupules, oublié et récupéré des années plus tard en ministre du Budget dans le gouvernement de ses compères mafieux, promis aux plus hautes fonctions de l’État.



Malencontreusement pour l’ignorant Michel Slitinsky des subtilités du droit et des procédures, en droit français, la complicité du deuxième degré n’est pas pénalement punissable. En toute évidence, en considérant la totalité des membres du gouvernement de Vichy  en coauteurs des crimes contre l’humanité, le secrétaire de préfecture Papon, n’est tout de même qu’un simple complice du Préfet Savatier ; ès qualité de son secrétaire, qu’un complice du deuxième degré du Régime de Vichy. Les motifs de la contestation de leur compétence légale par des exposés écrits aux magistrats jugeurs de Bordeaux ont été même compris et récupérés à leurs besoins par des nombreux profanes. (Mais, aux fins d’indemnisation des victimes, leur responsabilité civile doit être retenue. Papon et ses héritiers se seraient trouvés en calçons par la mise en œuvre de cette action toujours recevable).

En tant que secrétaire de son Préfet, à Papon, complice du deuxième degré, les crimes contre l’humanité du régime de Vichy lui n’ont donc pas été imputables. Mais il en allait tout à fait autrement pour ce compte Olivier Guichard du Rotary. L’hypocrite politicard, avec ses momeries et simagrées exercés pour la télé, s’est présenté sans vergogne en témoin contre Papon pour profiter du super-spectacle des Assises à Bordeaux, alors que le noble fiston a été un tout jeune assistant et secrétaire d’un authentique complice galonné des crimes contre l’humanité, et un des traitres des plus redoutables encore.

Mais comme Papon, en ministre,  a été simultanément justiciable de la Haute Cour de justice 1958 dans le cadre du complot contre la sûreté de l’État de ses homologues du grand banditisme international, le cachotier, avec la corde au cou, trouvait tout intérêt de jouer le perfide jeu. Les affidés de la Cour européenne des Droits de l’Homme n’ont pas manqué de récompenser par une indemnisation substantielle, par un jeu de faux en écriture et par la suppression de mon intervention dans la procédure à Strasbourg, son persévérance jusqu’au dernier souffle. Le magistrat, représentant la défense de la France devant la cour, comment s’est-il comporté en face d’une escroquerie judiciaire patente dans cette procédure truquée ? Quelles ont été les directives de son ministre ? Mystère. À fait longue feu, ma plainte à la Cour pénale européenne de Luxembourg contre ces crimes judiciaires. Pour empêcher la communication aux juges de la cour, la plainte a été interceptée et bloquée au greffe. (Preuves frappantes fin page 4 des blogs). {Images juges nazis européens}.

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Avec l’amplification de la récrimination «complice des crimes contre l’humanité » aux crimes politiques déjà jugés de l’ancien chef de la police française René Bousquet par la Haute Cour de justice 1944, parions, les voyoucrates du ministère public ne se sont rendu-compte que tardivement du scandal que je ne manquerais pas de déclencher avec ma science à l’audience publique devant la Cour d’assise de Paris. Si on qualifie ce fonctionnaire subordonné « complice », on qualifie par ce fait même ses supérieurs du gouvernement auteurs ou coauteurs, leurs autres proches collaborateurs,  complices du premier degré punissables. L’ancien ministre pétainiste Marcel Déat, un des traîtres clefs de la haut trahison de la France en tant que ministre de l’Air de la III° République, exfiltré et protégé par le Vatican, a trouvé refuge en Italie avec sa tirelire. Par la réussite du complot du Plan bleu, Déat s’apprêtait tout bonnement de revenir au gouvernement de la France. Pour dissimuler les attentats de ce genre-là  contre la sûreté de l’État de la Haute société qui les finance en douce par des fonds secrets, les magistrats des cours de justice en France, gaspillaient en toute impunité des sommes insensées du contribuable dans des ruineuses sabotages judiciaires, dans des lamentables mascarades des poursuites contre ses créatures du niveau inférieur dans l’accomplissement des crimes contre l’humanité. Ils se plaignent des surcharges de travaux. Comme nous le présentons ici, pour fabriquer des interminables mascarades judiciaires annulables d’office, ces maquignons trouvent tout le temps nécessaire.

Lorsque  le 13 octobre 2000, s’en est rendu compte de la portée réelle de ma nouvelle intervention en référé d’ordre public, le Président du Tribunal de Grande Instance de Paris. M. Jean-Claude Magendie, maçon affairiste notoire du GLNF du T.G.I. de Paris, ce grand pote serviable de Sarko-les-Pots-de-Vin, a vite fait de faire disparaître la procédure relevant d’office de sa compétence ; son procureur de la République d’oublier les poursuites frelatées du cadavre de l’officier SS Aloïs Brunner, d’abandonner celle contre l’SNCF pour complicité aux crimes contre l’humanité (sic).

 Dissuadé par la traque des sbires des ministres de  l’Intérieur de présenter mon argumentaire incontesté aux Assise de Lyon dans l’affaire les poursuites de l’SS Gestapo Klaus Barbi,

l’argumentaire incontesté est présenté contre Brunner à Paris, personnellement à Magendie en référé. Dans l’exposé est précisé que les criminels allemands des forces d’occupation, sous peine de nullité générale et substantielle, ne peuvent  être poursuivis que par le tribunal militaire spéciale, composé en partie par des membres de Forces française d’Intérieur et par des Résistants selon l’ordonnance du 28 août 1944 et la loi du 15 septembre 1948, figurant dans le Code de procédure pénale,  encore en vigueur. Les guignols de juges, éliminaient dans la procédure les constitutions de parties civiles des Résistants, victimes du tortionnaire, alors, selon la loi, leurs représentants auraient dû faire  partie de la Cour du jugement.  La belle affaire ! Le rétablissement de la situation légale en France exige à ce que cette procédure des Assise de Lyon soit aussi annulée d’office dans l’intérêt de la loi.

Répétons-le, lors du procès de Nüremberg, les groupes du type SS ont été reconnus comme organisation criminelle indivisible : « Tous les individus appartenant à cette formation ou à ce groupe peuvent être considérés comme coauteurs... ». Chez les Nazis, indubitablement, est intrinsèque et implicite leur participation matérielle et morale, même s’ils n’ont pas été personnellement présents sur le terrain ou zone du crime. Telle est la portée des articles 59 et 60 du Code pénale 1806 et la jurisprudence de principe. Contre un malfaiteur de droit commun emprisonné, a été retenue par la Cass la complicité de son pote en liberté utilisant des moyens ignorés par son associé en taule pour d’autres délits. « Qui veut la fin accepte les moyens », est l’aphorisme qui a dirigé cette jurisprudence de principe. Et comme, paraît-il aux crédules, selon le droit fondamental rétabli par la Libération de 1944, tous sont égaux devant la loi et  la justice... Donc, selon une saine logique juridique conforme aux droits fondamentaux, quand le lien de responsabilité de coactivité ou de complicité s’établit au rang sociale du bas, à plus forte raison, compte tenu de l’élément moral, il s’établit au rang social du haute.

 L’activité et la coactivité aux crimes contre l’humanité est une évidence qui saute aux yeux déjà par la coupable tolérance en 1941, légalisé en 1943, de ce gouvernement fantôche de laisser le lieutenant-colonel (Obersturmbann Führer) SS français Jacques Doriot et d’autres officiers SS récupérés parmi les truands dans les prisons, de recruter en France des citoyens diminués en « sous-hommes », pour former la Légion des Volontaires, intégrée dans la Division Waffen SS Charlemagne. Endoctrinés et mus de l’idéologie nazie, tous placés sous le haut commandement des officiers supérieurs et généraux SS pour la réalisation du génocide glorifié par la propagande.

Allant encore plus loin dans cette logique de  la Collaboration, ce gouvernement des auteurs et coauteurs zélateurs de Vichy, fit rentrer dans son sein le général SS Joseph Darnand en chef suprême des toutes les polices, gendarmerie, milice ; lui donne l’aval et la bénédiction du bien-fondé morale au recrutement des sous-hommes françaises pour constituer la Brigade d’assaut SS Frankreich, souvent par des membres de la Milice ou des professionnels de l’Armée française, démobilisée après l’occupation de la Zone libre par les troupes allemands.

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Allons ! Allons ! Un peu de déductions logiques. Le père Edmond Giscard, un haut fonctionnaire du Ministère des finances, faisant ses preuves auprès du gouvernement des auteurs et coauteurs de Vichy, fut décoré par la breloque « Francisque », la plus haute distinction du régime du Maréchal Pétain. Sa spécialité : l’escroquerie de haute vole consistant de détourner à son profit des indemnités accordées aux filiales françaises sinistrées par la guerre d’Indochine,  de réinvestir le magot dans l’immobilier. Devant le Conseil d’État, le pognon n’a pas d’odeur non plus. C’est le doux lubrifiant qui mobilise la mécanique de l’anoblissement par la récupération d’une particule aristocratique tombé en déshérence. Noblesse oblige, quand on s’est inventé chemin faisant vers l’élévation, l’instillation in-utéro dans la circulation des Vilains, de quelques gouttes du noble sang royal.

Les Giscard, c’est toute une histoire. Il leur fallait la création de l’Ordre national du Mérite pour parer à l’inflation galopante de l’Ordre de la Légion d’honneur par des récompenses attribuées à la pelle aux pires des ignominies de la corruption institutionnalisée. Par ce chapitre beaucoup trop vaste pour être résumé par mes moyens matériels limités, nous rentrons dans les récites incomplètes de l’historien allemand E.R. Carmin sur l’organisation nazie et néonazie combinant avec l’Église, et, de l’historien espagnol Jesus Ynfante sur « Les Crimes sous Giscard » : L’affaire de Broglie, l’Opus Deï, Santa Mafia, Matesa...

Allant de pair de l’atavisme d’escrocs de haute vole affligeant les Giscard, leur affinité spirituelle est très marquée avec les tenants de la restauration du Saint-Empire germanique fondé par le baptême du calamiteux exterminateur barbare Clovis I. Cet élément moral explique leurs accointances et acoquinages avec la Santa Mafia, les gladiateurs de la captation des âmes en peine de l’Opus-Deï (œuvre de Dieu), de la Loge maçonnique déviante du Vatican, de de la loge maçonnique néo-fasciste Propaganda Due (P2). La Commission d’enquête parlementaire en Italie l’a qualifié « organisation criminelle secrète ».  Que dire de leurs biens pires apanages en France ?
Dans ce contexte aussi, sont confirmés les révélations de E.R. Carmin, dans sa littérature documentaire escamotés dans les procédures de l’affaire Papon par les crimes de suppression des actes : l’établissant des relations internationales clandestines facho-nazies avec l’Argentine sous la présidence du général Juan Perón, (officier formé en Allemagne), de certaines personnes suspectées d’être liées à la CIA et à la Mafia sicilienne. Ces filières protégées du plus haut niveau du Pouvoir, procédaient à  l’exfiltration des capitaux de la Reichsbank (Banque de l’Empire nazi) en 1943/44 avec ; en 1945, des têtes criminelles les plus dangereuses du régime hitlérien. Carmin en accuse le noble comte, grand-maître Licio Gelli de la maçonnerie déviante, (« excommuniée » du Grand Orient d’Italie), et commandeur des chevaliers de Malte, être une des personnalités clefs, avant même l’éclatement du scandale mémorable de la faillite de la Banco Ambrosiano, dont la Banque du Vatican était le principal actionnaire. Du détournement des milliards de lires, le magot est découvert dans les Bahamas en 2007. Le journaliste David Yallop attribue à cette conspiration néonazie-fasciste et mafieuse, en raison de sa préparation de la réforme des finances du Vatican, l’assassinat du pape Jean-Paul Ier le 28 septembre 1978, soit 33 jours après le début de son règne.

Qu’on cesse enfin de nous rebattre les oreilles par ce bastringue actuel de la désinformation sur le décès de Gestapo Müller en 1944, l’enterrement choquante de son cadavre dans une fosse commune du cimeterre juif à Berlin, rapporté par la pesse d’Allemagne, elle aussi, constamment en crise de manque d’une sensation pour maintenir ses tirages. Heinrich Müller, ancien chef de la Gestapo, publiaient depuis longtemps des historiens bien informés des services secrets avisés, a survécu dans le confort à la chasse aux nazis après la capitulation pour devenir un des chefs clandestins les plus importants en Allemagne de la réorganisation internationale du néonazisme, de l’organisation de l’association nazie « Kameraderie », chargée de l’exfiltration des chefs nazis les plus essentiels par la filière des monastères et cloitres. Pour reprendre une confortable vie nouvelle sous une honorable identité, les méthodes des sbires SS a été très simple pour des pervers de leur espèce. En raison du tatouage sous le bras du groupe sanguin, on repérait parmi les SS de rang inférieur un individu de stature semblable. On le bousillait pour laisser découvrir par les témoins le macab revêtu de leurs uniformes et avec leurs papiers dans les poches. Allez faire dans les ossements d’une fosse commune une analyse anatomique par les médecins légistes ! L’analyse génétique fut inimaginable à l’époque.

 Avec Adolf Eichmann, est passé en Argentine par la « Kameraderie », par l’organisation clandestine commandée des associés friqués du réseau international du Gestapo Müller, avant qu’il soit capturé par des commandos juifs. Parmi ses compagnons de marque des voyages organisés vers en Argentine, on trouve aussi « le, en 1945  « défunt » Martin Bormann. C’est l’adjoint et l’exécuteur testamentaire d’Hitler, à savoir le préparateur de l’organisation de la Troisième Guerre mondiale prophétisée par les oracles de la secte Thoulé. L’histoire attribue à cet ancien adjudant-chef les placements en Suisse de colossales fortunes personnelles, spoliées partout dans les pays occupés des nazis. Au lieu et à la place des fausses nouvelles scandalisant la foule crédule, les victimes aimeraient mieux de savoir pourquoi n’ont pas été inquiétés par une justice, les complices-receleurs de ce deuxième personnage du régime nazi, de ce magicien noir Bormann. Mais c’est toujours par ces raz-de-marée de fausses nouvelles spectaculaires, les médias stipendiés dissimulent aux citoyens et électeurs les vérités historiques essentielles. L’affaire Papon en France n’en est qu’un exemple éloquent parmi bien d’autres.

Dans la communauté de ces célébrités nazies « décédées », telles que Bormann ou le Gestapo Müller resté tranquillement dans son pays, des célébrités exfiltrés par les réseaux des monastères, exerçait dans le luxe la médecine pour eux en Buenos Aires, sous la protection personnelle du président Juan Perón, le docteur  Mengele du Bureau de la Race et du Repeuplement. Un sous-fifre SS comparé à l’ingénieur général SS Dr Karl Franz Kemmler. À la fin de la guerre, ce le troisième dans la hiérarchie nazie, a été « l’homme le plus capable et plus doué », selon l’appréciation de Himmler. Celui-là a été exfiltré avec son colossale fortune par ODESSA, le réseau du CIA spécialisé de la récupération des savants et ingénieurs nazis. Kemmler, SS ingénieur spécialiste de l’installation des armes secrètes nazies ‑ les fusées et la bombe atomique en cours de réalisation à Jonastal ‑ fut aussi le concepteur des camps d’extermination. La CIA s’est rapidos débarrassé de ce monument des crimes contre l’humanité, l’ont fait cadeau au président Perón d’Argentine. Il en avait besoin pour la réalisation dans le Tucumán de ses sinistres projets avec la collaboration de tous d’un réseau de hauts nazis manquant à l’appel des cours de justice.  Le Dr Heinrich Dorge, conseiller du Dr Schacht, ministre des Finances de Hitler, en ancien directeur de la Reichsbank, assurait le financement, par la gérance en Argentine, des fonds astronomiques détournés en Allemagne, laissée exsangue dans les ruines, et, recelé dans des planques à Zürich. (E.R. Carmin). Si la justice a réussi d’extraire de ce réseau nazi ces sous-fifres, le gazier SS Adolf Eichmann et le Gestapo capitaine Klaus Barbi de Lyon, c’est parce que, ils s’agissaient des enfants pauvres, désargentés, et, en tout manière sans importance pour la prospère organisation néo-nazie. Et, l’occultation de ces faits historiques capitaux a été organisé par le rallongement à l’extrême des sabotages de l’affaire Papon à Bordeaux, recels des malfaiteurs et de leurs capitaux couvertes par la Cour européenne des Droits de l’homme et de la Cour pénale de la Communauté européenne de Luxemburg, alors que l’affaire relevait en exclusivité de la compétence du Comité des droits de l’Homme de l’ONU, bien auparavant saisie par Dietrich et  par son intermédiaire M. Éric Laborde-Hondet.

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En ministre encore, Valérie-le-Surdoué (sic), attesté aux fins de propagande électorale par une savante littérature psy subventionnée, il s’est servi des intrigues au ministère des Finance en tremplin de décollage à la Présidence de la République. Sont légendaires les accointances avec toutes  ces sombres combines du Rotary, de la Santa Mafia, Opus Deï, les combines en Espagne avec le régime du général Franco, un grand compagnon d’arme du Maréchal Pétain dans la guerre du Riff. Complice à l’ambassade de France à Madrid, notre grand homme idoine, officiait en intercesseur dans les banques à Genève à la récupération pour le compte des facho-nazis des fosses communes, des dépôts mise en sécurité par le régime républicaine légitime, démocratiquement élu en Espagne. Tenant compte de la proportion des surfaces respectives de l’Espagne franquiste et du reste de  l’Europe sinistrée par les nazis, il est fort à parier qu’est bien plus élevée le pourcentage des exterminés en Espagne à l’aide des unités nazis de Hitler et de celles des fachos de  Mussolini. Ce secret d’État d’autres crimes contre l’humanité est jalousement préservé de la curiosité par la persécution des juges actuels à Madrid.  Les fosses communes, telles inspectées à Katyn en Russie, en Espagne, elles sont  très nombreuses, disséminés sur tout le territoire : des humbles électeurs et électrices trouvés sur des listes électoraux des circonscriptions dans lesquelles la gauche républicaine a été gagnante.

De Giscard, l’ancien financier des campagnes électorales, l’agent de change Xavier de La Fournière, avec un gouffre de 50 millions dans ses comptes disparus aussi, s’est fait suisci-trucider en prison selon la veille tradition pénitentiaire. Le 17 décembre 1992, par voie d'intervention dans la procédure, en conformité aux dispositions de l'article 87 et 203 du Code de procédure pénale, j’ai honoré le juge d’instruction de Paris Jean-Marie Charpier d’une constitution de partie civile par voie d’intervention. Lui ont été exposé les détails du complot contre la sûreté de l’État, le régime légal de l’exclusivité de la compétence de la Haute Cour de justice. À l’instar de l’affaire Chaumet/Chalandon, le dossier remonte au complet à la Cass, en passant par la Cour d’appel de Paris, avec la mise en cause nominative les membres du gouvernent (Papon, Chalandon, Pasqua...). À la Chambre criminelle Christian Le Gunehec, le président placé sur mon chemin depuis le départ pour tous les tripatouillages, a mis un terme à la procédure par des faux en écriture et des crimes de suppression des actes de procédure. (Crim. 11 avril 1994, B N° 94-83.959.D||Crim. 7 juin 199  n° D 94-80.097, Dupont). Grandie du prestige de la chevalerie de la Légion d’honneur, ce vieil gagneur par des falsifications de toute sortes, a fonctionné derechef en juge et partie déjà mise nominativement en cause dans la qualification criminelle « Complot contre la sûreté de d’État ». « On n’est jamais mieux servi que par soi-même ». (Preuves incontestées et références produites dans les blogs).

Pour apporter encore un peu de l’eau au moulin de la révision de l’Histoire, les justiciables éconduites pourraient aussi se souvenir des tas de diamants volés à Bangui à leur brillant Empereur sacrée Bokassa du Centre-Afrique, inestimable fortune subtilisé par les agents de ses chers amis, des inventifs promoteurs en France du régime bizarroïde; de l’attentat propagandiste électorale à Ajaccio ayant bousillé dans l’explosion des touristes suisses.

 De Valérie, en plongé rapide dans les sondages, l’éminence grise présumée a été Jean Riolacci. Il s’est déjà distingué en Préfet du département Tarn 81 (1972/75) dans tous les secteurs du crime organisé : les faux certificats de conformité délivrés aux les intouchables escrocs immobiliers de haute vole, des faux cartes de grises à l’industrie des voleurs de voitures, des escroqueries, exactions et concussions du Percepteur de Castres Jean-Paul Scoffoni, un des séides du SAC du capo di capo Pasqua. Ensemble, stipendiés par les laboratoires Fabre de Castres... la conjuration s’est concertée pour en finir l’élimination judiciaire du juriste battant Dietrich, de ce battant de para devenu justicier qualifié, implanté dans le système véreux du crime organisé du Potard multimilliardaire, de « l’empereur » du Tarn,  à travers du 8° Régiment de Parachutistes de l’Infanterie Marine, stationné à Castres.

Feu Jean Riolacci, cette splendeur de préfet de la région Corse,  passe aussi chargée de mission à l’Élysée (1977 et 1981). Là, l’éminence grise copine avec l’énarque Philippe Aucouturier, conseiller technique à l’Élysée avantageusement connu de Valérie, apprécié par son épouse. C’est l’influent et prospère fils du notaire spoliateur Me Jean Aucouturier, ­‑ escroc associé secrètement aux juges spéculateurs ‑, officiant dans la circonscription électorale de M. Maurice Papon. Depuis le 27 juillet 1992, le notaire avec ses copains du Rotary bénéficie du blocage de l’instruction, comparable à Papon à Bordeaux, par la violation de la compétence légale des juges d’instruction du droit commun, organisée par des ministres de la Justice et de l’Intérieur successifs à l’aide des taupes implantées à Bourges: Juge rouge Bidalou en instance de la récompense de réintégration ; le Lieutenant-colonel Yves Chalier, malfaiteur extradé du Brésil où il s’est réfugié auprès de  la mafia avec le vrai-faux passeport du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Blog p. 5 et 6.



À Bourges, après des décennies de tracasseries et harcèlements des victimes sous l’égide d’une succession de juges d’instruction usurpateurs de leurs pouvoirs légaux sous l’effet du trafic d’influence des ministre du régime de Valérie Giscard d’Estaing et de ses successeurs, les pouvoirs publics se sont résignés pour la propagande électorale de lever les obstruction de la justice, de faire passer aux Assises de Bourges, sans ses coauteurs et complices, le notaire affuble des circonstances psychiatriques atténuantes sa responsabilité pénale, adoucissantes le régime pénitentiaire propre aux VIP. Les plus grands partis du magot a passé dans une des paradis impénétrables.

 Les injures humiliantes du 10 mars 1994, des journaleux de la feuille de choux du lieu « La Nouvelle République du Centre-Ouest » (Blogs p. 11) engendraient mon exclusion par le discrédit ;  ont permis la substitution à mes écrits édifiants, des effets de manche stériles du médiatique l’avocat félon Gilbert Collard, l’indécrottable édredon du Front national encrassant à présent un fauteuil de l’Assemblée nationale. Le terrorisme à mon domicile des ministres de l’Intérieur de Charles Pasqua à Sarko-les-Pots-de-Vin, empêchait ma présentation aux Assise de Bourges en véritable conseiller confirmé de l’association de défense des victimes du notariat ; la présentation aux jurées le déclinatoire de compétence supprimé à tous les stades de la procédure. (Pages 5 et 6 des blogs). Ne sont pas encore rapporté tous les procédés fripouilles de ces machinations d’élimination combinées à la La Courneuve, manigancés ou couverts par le ministre de l’Intérieur, l’avocat Me Claude Guénant, secrétaire générale à la présidence de la République de Sarko‑les‑Pots‑de­‑vin et bien entendu maçon de la Grande Loge National de France qui est un de ses promoteurs et composant de son régime.

Du temps des camouflages et maquillages de l’assassinat du ministre Robert Boulin Franc-maçon du GLNF, impliqué dans le trafic de drogue de la French connexion, on trouve Jean Riolacci (1977‑81) au Cabinet du ministre de l’intérieur, Christian Bonnet, en chargé des problèmes de défense. Son acolyte : « Quelle rôle a joué Claude Guénant dans l’affaire Boulin », se pose toujours la question la presse ? (*) Ce faux-frère de la GLNF devenu l’éminence grise à l’Élysée de Sarko-les-Pots-de Vin. Et surtout, quel rôle a-t-il joué dans l’élimination du juriste Dietrich ayant mis les lumières dans l’obscurantisme concerté, en a même transmis aux fins de la saisine de l’Assemblée nationale 1981 le député Michel Rocard (futur Premier ministre) avec un dossier éloquent, mettant même en cause l’ancien ministre des Finances Valérie Giscard d’Estaing. ((*) Médiapart, documentaire d'Antoine Perraud ("Affaire Boulin : une bassesse française") mis en ligne le 28 janvier 2013).

{Légende de l’image : Une des publications du contenu du dossier ayant précédée l’arrestation illégale de Dietrich, manigancée à Castres par le procureur de la République J.L. Vuillemin, son envoie d’abord  la maison d’arrêt près de Bordeaux, ensuite à la forteresse psychiatrique de Cadillac. Applicables dans l’information à décharge contre les magistrats de Castres mises en causes pour forfaitures d’excès des pouvoirs, les constructions juridiques du juriste Dietrich sur les violations des dispositions d’ordre public des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale furent détournées par les autorités de Bordeaux pour faire annuler illégalement la procédure d’information de l’ancien ministre Maurice Papon, en réalité justiciable par la Haute Cour de justice 1944, et, concomitamment de la Haute Cour de justice 1958, avec ses anciens comploteurs contre la sûreté de l’État au gouvernement}.

 Ajout du 11/12/13. Du temps des camouflages et maquillages de l’assassinat du ministre Robert Boulin Franc-maçon du GLNF, impliqué dans le trafic de drogue de la French connexion, on trouve Jean Riolacci (1977‑81) au Cabinet du ministre de l’intérieur, Christian Bonnet, en chargé des problèmes de défense. Son acolyte : « Quelle rôle a joué Claude Guénant dans l’affaire Boulin », se pose toujours la question la presse ? (*) Ce faux-frère de la GLNF devenu l’éminence grise à l’Élysée de Sarko-les-Pots-de Vin. Et surtout, quel rôle a-t-il joué dans l’élimination du juriste Dietrich ayant mis les lumières dans l’obscurantisme concerté, en a même transmis aux fins de la saisine de l’Assemblée nationale 1981 le député Michel Rocard (futur Premier ministre) avec un dossier éloquent, mettant même en cause l’ancien ministre des Finances Valérie Giscard d’Estaing. ((*) Médiapart, documentaire d'Antoine Perraud ("Affaire Boulin : une bassesse française") mis en ligne le 28 janvier 2013).

Dans le « star-système de la République spectacle », (Prof. Schwarzenberg), la super médiatique juge d’instruction Eva Joly (non qualifié des titres universitaires nécessaires pour être admise dans la magistrature), associée après coup avec l’autre bien qualifiée celle-là, a retrouvé avec celui de Charles Pasqua, aussi le nom de son acolyte de Nice Jean Riolacci parmi les illustres bénéficiaires du détournement des fonds de la société nationalisée Elf Aquitaine international. Cette nouvelle résurgence des combines mafieuses de la canaille de la haute finance n’est forcément que le prolongement de l’escroquerie monumentale du temps où le ministre de la justice Albin Chalandon a été le directeur d’Elf avec son invraisemblable invention des « Avions renifleurs » (des fonds publics à détourner). C’est une certitude qui saute aux yeux d’un observateur moyennement doué : la nouvelle affaire Elf Aquitaine sur les détournements massifs des fonds, n’a pu se produire grâce à l’élimination du plaignant intervenant Dietrich dans l’affaire Chaumet/Chalandon aux correctionnels de Paris : la suppression criminelle de son déclinatoire de compétence bien étudié et sérié, présenté à l’audience publique, contradictoirement,  l’argumentaire savant de la  revendication de la saisine sans délais la Haute Cour de justice. (Page 3 des blogs).

Dans les années 1995, pour ne plus susciter des voies de recours dispendieuses contre les forfaitures indécrottables de la prévarication d’excès des pouvoirs des juges carriéristes, le juriste DEA vacciné a transmis à la Joly-Joly juge d’instruction, à titre de « témoignage », (non éliminable sous peine du crime de suppression des actes), les dossiers précités.  Ce monument de corruption Eva Joly, cette idole trompeuse du juge incorruptible de l’épate des télé-gogos-spectateurs s’en est fait son affaire à elle de la précieuse marchandise à la quelle Dietrich a été réduit depuis ses débuts à la sortie de l’Armée. Au lieu de faire preuve de son héroïsme d’emprunte par la provocation de la saisine de la Haute Cour de justice, l’accapareuse du filon d’or à la médiatisation de ses charmes, s’est acharnée durant des années sur un homme de paille, le dressant en paravent devant le beau linge de l’haute du pavée politique
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Pas besoin d’être licence en droit pour réaliser que l’ex-sergent-chef para Alfred Sirven, des dirigeants, n’a été, que le mercenaire des missions et des commissions occultes sans pouvoir de décision dans la société Elf-Aquitaine. Les 3 ans de cavale de la tête de turc aux Philippines, n’a été mise en scène que pour entretenir le roman-feuilleton de suspense devant les abjections de la réalité : l’organisation méthodique des détournements des fonds publics vers des célébrités politiques en vue. En épargnant la coterie friquée, incluant Valérie Giscard d’Estaing, Charles Pasqua avec leurs fidèles malfrats, les médias de multimilliardaire  ont construit à la jugette idolâtrée le tremplin à l’élévation à la députation au Parlement européenne. Cette farce médiatico-judicaire à l’apothéose d’une séductrice d’un rejeton boutonneux du grand monde influente la carrière insensée d’une ancienne starlette sexe-roulure norvégienne, combien a-t-elle contribuée à la ruine de l’économie française ? Vous donne une idée l’historien Roger Vincent Aiello : « Dans les coulisses d’Elf Aquitaine ». Manuscrit.com. Dans ces détournements des fonds public, y avait de quoi pour renflouer le trou de la Sécurité sociale creusé par les combines de cette intouchable coterie mafieuse, ces malfaiteurs déprédateurs coalisés de haute vole qui mettent la France en coups regelés n’y payant même pas leurs impôts.

Avec les accointances vermoulues de Valery avec le superpréfet Jean Riolacci, tous les chemins reconduisent ainsi à Castres à ses compromissions avec le Rotary dans les escroqueries immobilières de haute vole, vers le talon d’Achille du monstre de la dépravation des institutions républicaines. Astucieusement, sans m’en rendre compte au départ, je fus embarqué dans cette funeste galère, vite jeté par-dessus bord par le procureur Jean-Louis Vuillemin du Rotary, gazé en détention provisoire par ses Ripoux, écrasé par des forfaitures d’excès des pouvoirs de ses juges aux ordres, séquestré, torturé, pris chasse par des tueurs lors de l’interminable cavale.

L’organisateur initial, déplacé de Castres à Perpignan pour saboter en 1992 l’instruction des détournements des fonds par ses copains du Rotary, (dont le député R.P.R. Jacques Ferran), l’ex-procureur rusé Vuillemin du Rotary a cependant retrouvé sur son chemin son contradicteur évadé des geôles près de Bordeaux où il l’a fait séquestrer. Avancé au grade de Premier Président du Tribunal de Grande Instance à Perpignan, l’ancien truqueur à Castres en 1977, comptait de remettre ses astuces criminelles d’obstruction à la Justice de la Haute Cour en application. Saisi par la procédure d’urgence de référé par les avocats des truands, Vuillemin comptait cette fois-ci faire bousiller par les forfaitures éprouvées de son hiérarchie gangrénée l’entreprenant Procureur de la République M. Louis Bartoloméi rien pour l’empêcher de « nettoyer les eaux glauques dans lesquelles baignent certaines affaire du département ».

En expédiant ce magistrat intègre, « dynamique contre  la corruption », devant le Conseil supérieur de la Magistrature à Paris, Vuillemin m’a livré les verges pour le fouetter par mon intervention par le témoigne spontané dans la procédure tendancieuse. Sans tergiverser, le Conseil supérieur de la magistrature a été tenu par la loi, d’office, de faire saisir  la Haute Cour de justice pour dénoncer ces crimes des comploteurs contre la sûreté de l’État. Silence radio ! Ne touche pas à mon pote !
Avec mon déclinatoire de compétence bien étoffée, je remis en œuvre ma constitution de partie civile par voie d’intervention dans la procédure d’instruction paralysée à Perpignan. Par l’exercice des voies de recours contre l’obstruction intolérable à la compétence exclusive de la Haute Cour de justice, des avocats des victimes m’ont fait savoir d’avoir fait parvenir ce dossier édifiant à la Cour de cassation... Silence radio ! Ne touche pas à mon pote !

 Mais avec ça, le boucle est de loin d’être bouclé. Par un coup de chance inouïe, une  publication m’a fait connaître dans l’Armée le système de l’arme secrète aux effets si hallucinants que leur nature incroyable aux communs ne puisse pour l’instant être décrite. Pour m’en soustraire, après avoir été poursuivis à travers Paris, il ne me restait plus de flamber les dispositifs des utilisateurs.
Et voici les jalons planté pour l’historien du sinistre des nobliaux en pacotille Giscard. L’évocation de l’émergence en correctionnel du frère Charles Giscard d’Estaing nimbé de son auréole du Rotary, joint à l’ancien député-ministre Michel Noir de Lyon et sa bande d’escrocs de la Côte, présente bien plus d’intérêt : la procédure avortée à Lyon relevant de la compétence exclusive de la feue Haute Cour de justice, est une de celle dont l’annulation dans l’intérêt constitue une question préjudicielle incontournable à la poursuite judiciaire du complot complexe contre la sûreté d’État combattu personnellement par moi.

N’a soulevé pas la moindre contradiction, la procédure contradictoire à Lyon, sous la houlette du médiatique procureur général  Jean-Louis Nadal grandiloquent : "On-a-défiguré-la-justice". Une véritable trouvaille sur internet, ce furtif fantôme saboteur barrant sournoisement mon évolution judiciaire, de 1982 jusqu’ en 1996 aux nombreux coups bas assénés au juge Éric Halphen à Créteil, l’assassinat psychiatrique de son témoin, la mise en sécurité de la curiosité des dossiers compromettant les anciens compagnons de Papa, par le ministre de l’Intérieur Michel Debré, assise ensuite dans le fauteuil du Conseil constitutionnel à côté de Giscard... la suppression de mon déclinatoire de compétence régulièrement et personnellement enregistré au greffe. Ne touches pas à mes pots compromis jusqu’aux cous dans l’information houleuse contre l’industrie des fausses factures en Île de France de ces maçons déviants, du Rotary et des vieux chevaux de retour de l’ex-SAC !

Ce Nadal "On-a-défiguré-la-justice", encore un illustre maçon de la Grande Loge Nationale de France « pataugent dans les tous scandales avec ses dérivés affairistes », selon l’Express et le Charlie-Hebdo du 29 septembre 1999 ; scandales couvertes aussi par son protégé, le juge d’instruction «d’exceptionnelle qualité » Philippe Courroye. (Blog p. 10). On saisit ainsi mieux les motifs du déplacement fort opportun de Lyon, en procureur, près du Tribunal de Grande Instance de Nanterre : désamorçage des scandales du financement occulte de la carrière politique désastreuse de Sarko-les-Pots-de-Vin par la déstabilisation de l’inflexible juge d’instruction, Madame Isabelle Prévost-Deprez.

Le 13 février 1995 à Lyon, devant la cohorte de journaleux alléché du scandale salissant le beau linge de la classe politique, (dont un m’a reconnu en intervenant à Paris contre le  ministre de  la Justice Chalandon pour me serrer la paluche), j’ai profité de rafraîchir le mémoire de l’avocat Maître Jean-Marc Varaut avec mes exposés. Tout a été enregistré devant les parties et leur gallérie par le greffier audiencier, sériant des tripatouillages de l’affaire Papon à Bordeaux. Par son digne retenu habituel, Me Varaut y a été le plus brillant des avocats maquignons de la  défense frelatées de Papon à l’autre bout de la France. Devant les prétentieux maquilleurs cérémonieux des palais de justice,  les grands esprits se rencontrent toujours sur le chemin des absurdités. Ainsi à Lyon ont été placés les jalons judiciaires à l’intention de justiciers avisés, souhaitant de se faire éreinter dans la poursuite de la Santa Mafia internationale du cercle vermoulu des nobles Giscard avec l’exigence d’une enquête sociale complète sur les imbrications historiques et internationales. Devant mes révélations démonstratives en béton, aucune prescription ne tient, aucune décision frauduleuse ne résiste à l’exception de nullité

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Pour placer devant sa responsabilité le Ministre du Budget d’alors Maurice Papon, avec les autres victimes de son zèle meurtrier manifesté dans les opérations criminelles du gouvernement exterminateur de Vichy, Michel Slitinsky s’est basé sur l’incrimination jurisprudentielle du Tribunal militaire international de Nüremberg, prise au sujet des poursuites pénales de la « gallérie du grotesque » du régime nazi avec ses SS : crimes contre l’humanité, imprescriptibles. Seulement, ses conseillers ne l’ont pas renseigné sur la définition légale française adjacente, dominante les poursuites des collaborateurs pour des crimes contre l’humanité : « l’intelligence avec l’ennemi » (à son programme affiché de génocide), crimes des fonctionnaires et commandants militaires français,  justiciables en exclusivité par la Haute Cour de justice 1944. L’acolyte de Papon, le directeur de la police de Vichy René Bousquet, avait déjà été jugé auparavant par cette Haute Cour de Justice pour des actes de collaboration. La qualification « crimes contre l’humanité », n’était pas encore rentrée au droit positif français.

Vers le mois mai 1981, c’est seulement par le tohu-bohu du bastringue des médias, déclenché par le « Le Canard enchaîné »,  ensuite par la publication livre documenté de Michel Slitinsky « Affaire Papon », (éd. Alain Moreau 1983), les victimes ont réussi de bousculer le ministre de la Justice de l’époque pour qu’il fasse saisir enfin, par le procureur de la République, un juge d’instruction de droit commun à Bordeaux. Un des anciens ministres de la Justice de ce gouvernement des « Gangsters d’État » a été l’illustre professeur en Droit Jean Foyer de l’université Paris II Panthéon-Assas, fils de notaire, député à l’Assemblée nationale de 1968-1972 et 1973-1981
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 En tant que grand spécialiste reconnue de ses paires de la question, (créateur de la Cour de sûreté d’État pour juger les putschistes de l’O.A.S.), le professeur Foyer tenait régulièrement à jour  dans « l’Encyclopédie du Droit pénale Dalloz » les chapitres de la procédure pénale applicable devant les Hautes Cour de justice. Doctement, il y a été précisé aux Procureurs, juges et avocats que la Haute Cour de justice de 1944, toujours existante, n’a simplement cessé de fonctionner en raison de l’épuisement des affaires connues de la Collaboration du régime de Vichy. Par voie de conséquence, la nouvelle Haute Cour de justice de 1958 ne pouvait pas en être saisie. Ni le juge d’instruction du droit commun, ni la Chambre d’accusation de Bordeaux et de Versailles ensuite, ont été habilités par la loi d’informer sur les Collaborateurs visées par la plainte de Michel Slitinsky, précisais-je en noir et blanc à ces juridictions prévaricatrices, jusqu’à la Cour de Cassation et au Conseil d’État
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En 1981/82, lors de la séquestration dans la maison d’arrêt près de Bordeaux et de la forteresse psychiatrique de Cadillac de la commune voisine de la ville, je fis démonstration à toutes les autorités judiciaires et préfectorales à Bordeaux, dans des requêtes motivés aux fins de libération sur-le-champ, des conséquences de la forfaiture prévaricatrice, des violations des procédure spéciales, (identique  à celle de la Haute Cour de justice), des articles 679 et suivantes du Code de procédure pénale (abrogés bien plus tard), jurisprudence et doctrine à l’appui : l’illégalité absolue, sous peine de « nullité générale d’ordre public et substantielle », des juridictions d’information de poursuivre un préfet, un maire ou ses adjoints pour des crimes et délits « aussi faible que soit la charge ».

 Tandis qu’il est tenté de me trucider en séquestration et  après l’évasion, les magistrats comploteurs firent bénéficier à tort et à travers mes constructions juridiques au secrétaire de la préfecture Papon, évidemment simple complice du Préfet René Sabatier. Si âgé qu’il n’avait plus rien à craindre du glaive de la Justice, le moribond ne cessait de le couvrir publiquement, pour en rire de la poursuite si tardive. En sa faveur et son complice Papon, la procédure d’instruction fut illégalement annulée à la Cass, tandis que pour moi, aujourd’hui encore, la procédure viciée par les procédés identiques est toujours maintenue pour me laisser réduit dans la situation d’un paria discrédité avec ma science universitaire.

À Bordeaux, cassait sa pipe, ce grand vieillard de préfet René Sabatier, à peine la nouvelle procédure d’information ouverte par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Bordeaux incompétement saisie. Dans son arrêt de rejet de mon intervention, le président de Bordeaux atteste à Christian Le Gunehec à la Cour de cassation, (Crim. n° J 92‑83.912.D du 8 décembre 1992), ma revendication de la saisine de la Haute Cour de justice et implicitement mon argumentaire sérié : la procédure spéciale des poursuites des préfets n’est plus applicable au complice Papon du préfet. Le décès du préfet a éteint l’action pénale contre lui, et, à titre individuel son secrétaire Papon n’est pas protégé par les dispositions des articles 679 et suivants du Code de procédure pénale.

 Selon la loi, la jurisprudence de principe et la doctrine rapportée à la Cass, la Chambre d’accusation de Bordeaux a perdu sa factice compétence légale d’informer. En théorie, dans l’absurde logique de leur passe-droit, l’affaire aurait dû être renvoyée au juge d’instruction du droit commun, toujours sous peine de « nullité générale d’ordre public et substantielle » appliquée auparavant. Le président de la Chambre criminel Christian Gunehec, rejetait, à répétions, mes nouveaux pourvois en cassation en raison de l’irrecevabilité de leur enregistrement au greffe par correspondance de l’évadé traqué (Sic). Copies fin page 4 des blogs.

Le même Président Le Gunehec, qui s’est cassé en quatre pour homologuer les pourvois fantaisistes de mes adversaires copieurs, annule encore les procédures d’information contre des magistrats de Paris soudoyés de la pègre de la ville. Ce tour de passe-passe illégale dissimulait aux victimes potentielles, à moi surtout, l’identité des juges soudoyés, auteurs des décisions partiales rémunérées par des pots-de-vin. (Marchi et autres). Toute ma science acquise par des études université acharnées n’a profitée qu’aux partis adverses des gangsters du crime organisé du grand banditisme, non recensés sur les fichiers nationaux et internationaux.

Par la récupération subreptice de la science de mon argumentaire présenté à Bordeaux dans l’affaire Papon, en mon avocat félon fit jouer le même tour de passe-droit 1989 devant cours d’appel de  Metz et Nancy, réussit de faire annuler en cinquième vitesse par la Cass, et, en finale pas l’Assemblé plénière, la procédure d’information parfaitement régulière de l’irréprochable juge d’instruction Gilbert Thiel
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 Dans l’information régulière du juge Thiel ont été parfaitement démasqués les affairistes du Rotary compromis dans des détournements des fonds dans le cadre du crime organisé du grand banditisme avec des attentats aux explosives et d’assassinant en marge. Par un commando de la Police, le ministre de l’intérieur Charles Pasqua, fauche au juge d’instruction Thiel les preuves chargeant ses gangsters associés. Les écoutes téléphoniques de leurs combines de grand banditisme connexe furent annulées dans la foulée. Mes constitutions de partie civile par voie d’intervention furent supprimées partout, avec la collaboration du président Christian Le Gunehec, dans plusieurs pourvois en cassation aux fins du renvoi des procédures à la Haute Cour de justice 1958. Crim. 16 avril 1991 n° M 91‑80.092 D. Berthiau.|| Crim 3 novembre 1992 n° K 92‑84.051 N, Zambeaux. Je suis sans nouvelles du sort réservé par l’Assemblée plénière de la Cour de cassation à ma contestation de la compétence légale du 5 novembre 1992 au profit de la Haute Cour de justice.

En tout évidence, toujours traqué, menacé de la répétions de l’arrestation illégale, je me suis trouvé dans l’impossiblité insurmontable de me présenter personnellement aux juridictions à Bordeaux (et plus tard à Grenoble et Nice). Dans cette situation, la loi m’autorisait parfaitement l’accomplissement de toutes les procédures par correspondance, ou encore mieux de faire un scandal à l’audience publique devant la Cour d’Assise à Bordeaux. L’introduction du sortilège de la télévision dans la salle d’audience a rendu totalement cinglé tout le monde, tourné le spectacle en apothéose des clowns circadiens, cherchant de se singulariser devant les journaleux par des plus ridicules numéros de bouffonneries au lieu d’exiger l’application de la loi d’ordre public.

 Lorsque les circonstances me l’ont permis, avec l’inclusion du dossier Papon, je me suis rattrapé aux audiences publiques Paris en 1988, puis à Lyon, en commençant par la démystification écrite aux juges, aux avocats et au journaleux les tripotages de l’affaire Chaumet pour soustraire de la Haute Cour de justice l’ancien ministre de Justice comploteur Albin Chalandon. Mais la continuation de mes interventions bouleversant la mise en scène des mascarades dirigée du sommet du Pouvoir, devant les Assise à Paris fut déjouée par l’assassinat de l’ancien chef de la Police de Vichy René Bousquet par un mytho-mégalomane instrumentalisé à l’aide de la magie des média. De l’artisan aux mobiles fumeux, trop bien renseigné, trop bien organisé, son procédé arrivé à pointe, ne relève pas du simple fait divers allégué.

Après la judicieuses intervention personnelle aux audiences publiques correctionnels à Paris contre les acolytes, naguère avec Papon au gouvernement, j’ai effectué régulièrement tous les actes de procédures et les recours personnellement jusqu’à la Cour de cassation. Les références et demandes faites dans les exposés claires et  précises, aux criminelles tripotages de l’affaire Papon à Bordeaux, ont été systématiquement occultés dans des brefs décisions de rejet : des faux en écriture publique patents par omission et par commission et des crimes de suppression des actes de procédures en série, suivis des récompenses des magistrats fraudeurs par les trafiquants d’influence, bénéficiaires des fraudes au gouvernement des vendus. Un tout petit entrefilet de dénigrement injurieux dans une épluchure journalistique du torchon  « Libération » du 10 octobre 1991 a foudroyé ma réputation du juriste qualifiée. Deux journaleux, informé de l’enjeu de  la bataille judiciaire se déroulant devant leurs yeux, ont réussi, moyennant finances, me faire isoler socialement des associations de défense des victimes dindonnées par leurs avocats félons, notamment à Bourges et au Le Mans.



Avant même de recommencer des poursuites régulières, la France se trouve à présent dans l’obligation de faire annuler d’office la totalité de ses procédures truquées, de rétablir la situation légale, la restauration des lois abrogées subrepticement par les suppôts soudoyés de la canaille friquée, l’indemnisation des victimes, personnellement par les fauteurs qui ont engendrés leurs importantes préjudices, quel que soit leur rang dans ce régime corrompu du haut en bas de l’étage. Une Justice égalitaire et impartiale, n’aurait-elle pas dû examiner depuis fort longtemps cet aspect de l’historique des faits incontestés sous la qualification légale « association de malfaiteurs  » ?

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La récapitulation provisoire est ainsi interrompue en raison de l’inaccessibilité aux dossiers contenant et des preuves essentielles et  de l’impossibilité de retrouver une documentation scientifique sur des machinations à couper le souffle aux plus endurcis des salopards du ministère public. La recherche de cette documentation sur une arme secrète aux effets hallucinants, susceptible produire encore autre un scandal international monstre, a produit l’arrestation illégale de l’ingénieur général (***) Sami Albagli, suivi de son assassinat dans une cellule de l’hôpital psychiatrique Saint Anne de Paris.


 Il reste aussi à éclaircir mon isolation sociale et judiciaire dans l’enchaînement des intervention l’affaire du Sang contaminé tripotée par la Président Christian Le Gunehec, par la présentation en grand spectacle, pour m’avilir par personne interposée, des assassinats de jouissances des jeunes militaires de Mourmelon, l’imputation invraisemblable à l’Adjudant-Chef Pierre Chanal, selon le message reçu de mon ancien amour à Mourmelon ; le suicide de l’adjudant-chef encore plus invraisemblable dans la cellule de sécurité de haute surveillance à la suite de mon intervention dans la procédure à Châlons-sur-Marne. (Blog page 13). Cependant, ce scandal risque de passer au second plan, si je parviens de retrouver  la documentation sur cette révolutionnaire appareille hertzien ratée, évoluée en arme ultrasecrète aux effets hallucinantes, et, de son application probable dans des assassinats en série par des gens ne réalisant pas ses effets, ne disposant pas d’une culture et d’un vocabulaire pour expliquer rationnellement une réalité dépassant les inventions des romans de sciène fiction...
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(*) Le père Paul Dietrich, durant la Deuxième Guerre mondiale, a été mobilisé par l’Armée suisse (milice) pour assurer la garde de la frontière contre l’Allemagne nazie. Impuissant, le bidasse a été spectateur d’un massacre bestial des SS des fugitifs cherchant de traverser la frontière de la Suisse. La guerre terminée, Paul Dietrich s’est pris aux officiers suisses, déserteurs, engagés dans la Waffen SS. Un d’eux au moins, un avocat de Zürich, a été officier instructeur dans le camp de formation des Waffen SS français, suisses et autres à Sennheim en Alsace. Par des mystères encore inconnus, ces officiers suisses de la Waffen SS ont réussi de s’éclipser des boucheries à l’Est dans leur prospère et passible patrie des receleurs, et reprendre leurs honorables situations comme si de rien n’était.

Lors des trucages des procédures judiciaires contre Maurice Papon à Bordeaux à l’aide de la récupération de l’argumentaire de Peter Dietrich, les psychiatres de Toulouse et de Cadillac ont retournés comme une lavette sa sœur Hanni Dietrich, accourue à son secours avec son ex-mari Kurt Kurzen. (Il ne s’est pas laissé corrompre ; a sauvée ensuite la mise de son beau-frère Peter). Entre autres inepties très-très scientifiques, les psys ont suggérer à la sœur de Peter Dietrich faire état des contentieux judiciaires de son père Paul Dietrich, sans se soucier de leur contenus.





Or, quoi qu’il en soit, la référence a été faite dans les enquêtes sociales à Toulouse et près de Bordeaux aux procédures judiciaires contre des officiers de la Waffen SS en Suisse, si bien que le juriste bafouée ainsi, le fils Peter Dietrich a été en droit de réclamer au ministère public en France la récupération auprès des juridictions suisses les copies de ces actes, car ; d’abord elles légitimes les interventions judiciaires du fils héritier Peter ; ensuite, son argumentaire apportant des faits nouvelles inconnus alors en Suisse, est en mesure de changer totalement l’objet et les qualifications de ces procédures en Suisses.

Comme il a été démontré ci-dessus, selon les critères du droit pénal français, ces officiers suisses, non seulement complices des crimes contre l’humanité, ils en sont des coauteurs. L’envoi en ex-Union soviétique une armée Waffen SS étrangers, a permis au commandement nazi, de retirer des troupes SS authentiques des surhommes pour perpétrer, entre autres, les massacres de l’Oradour-sur-Glane en France. Les termes des articles 59 et 60 du code pénal 1806, (seul valide), sont sans équivoque : sont complices, ­‑ à plus fort raison des coauteurs ‑, ceux qui «auront procuré tous sortes de moyens ayant servi à l’action ; aidé et assisté les auteurs de l’action, auront préparé et facilité, les moyens... ». La justice française, comme celle de l’Allemagne, est matériellement compétente pour examiner les crimes contre l’humanité des officiers Waffen SS de la Suisse, en évoquant les actes de procédure du père Paul Dietrich.

Http:\\Dietrichpeter.blogspot.fr. Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales. Les auteurs et leurs ouvrages rapportés aux juridictions sont référenciés en bas des pages des blogs.

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Ce que le grand public ignore, à la Deuxième Guerre mondiale, dans le camp Pingfan (Chine), sous la direction du médecin-général de l’unité 731, crée en 1935, le Dr Shiro Ishii, les Japonais ont été les champions en armes Biochimiques. Elles ont été étudiées et réalisées directement sur l’homme et appliquée sur la population  chinoise jusqu’à ce qu’une de leurs propres divisons en a été décimé. Leur production a été suffisante pour exterminer dix fois toute la population mondiale, selon les estimations expertes. Après la destruction des porte-avions par l’US Navy suivant les années 1942, avec la technologie allemande, a été mise sur chantier au Japon la dernière arme secrète : des sous-marins porte-hydro-avions capables de frapper l’Amérique à l’improviste aussi bien sur la côte est que sur la côte ouest. Avec leurs trois appareils pliables embarqués dans le corps des submersibles, toute l’Amérique aurait été à la merci de la flottille dotée des armes biologiques d’extermination massive. Seul l’usage en 1945 sur Hiroshima et Nagasaki des bombes nucléaires a empêché l’anéantissement programmé des populations d’Amérique du Nord et du Sud.

  En échange de leur impunité des crimes contre l’humanité, ‑ en sus, une grasse gratification en espèces des fonds secrets ‑, les savants docteurs ont fournis les recettes et les souches aux États Unis. L’expérimentation a continuée au Fort Detrick dans le Maryland avec des docteurs japonais associés aux expérimentateurs récupérés en douce des Camps de concentration d’Auschwitz. (Leur extradition à la Pologne a été refusée (**)). Des recherches secrètes sont à présent focalisées sur la manipulation des virus pour exterminer des espèces humaines présentant des particularités raciales du génome, de l’ADN. Le SIDA, destiné aux Homos et Négros, en serait un de leurs produits ratés. Ces recherches sont pratiquées un peu partout dans le monde sous l’égide des mascarades des contorsionnistes politico-judiciaires grassement appointés. L’abjection parée de la Légion d’honneur, le voilà « Le criminel, la splendeur du genre humain », selon Nietzsche. (**) Peter Williams & David Wallace. « La guerre bactériologique. Les secrets des expérimentations japonaises ». Ed. Albin Michel 1990.